16:30 | 21 |
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Pavillion Populaire Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Pavillion Populaire |
16:30 | 21 |
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Pavillion Populaire Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Pavillion Populaire |
17:30 | 21 |
AgoraPoint of departure: La Panacée
AgoraPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Montpellier Danse offers you the opportunity to discover their magnificent place entirely dedicated to dance: the Agora, Cité internationale de la danse, where Montpellier Danse and the Centre chorégraphique national are established. At the heart of the ancient convent of Ursulines, you will visit two creation and rehearsing studios. That may be the occasion to discover the Trans-Gender work of Matthieu Hocquemiller and meet the artist, who is at present an artist-in-residence there. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Montpellier Danse vous propose de découvrir son magnifique espace tout entier dédié à la danse : l’Agora, cité internationale de la danse, enceinte qui réunit Montpellier Danse et le Centre Chorégraphique National. Au cœur de l’ancien couvent des Ursulines, vous visiterez notamment les deux studios de création et de répétition. L’occasion de rencontrer et de découvrir le travail Trans-Genre de Matthieu Hocquemiller, artiste actuellement en résidence ! |
17:30 | 21 |
AgoraPoint of departure: La Panacée
AgoraPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Montpellier Danse offers you the opportunity to discover their magnificent place entirely dedicated to dance: the Agora, Cité internationale de la danse, where Montpellier Danse and the Centre chorégraphique national are established. At the heart of the ancient convent of Ursulines, you will visit two creation and rehearsing studios. That may be the occasion to discover the Trans-Gender work of Matthieu Hocquemiller and meet the artist, who is at present an artist-in-residence there. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Montpellier Danse vous propose de découvrir son magnifique espace tout entier dédié à la danse : l’Agora, cité internationale de la danse, enceinte qui réunit Montpellier Danse et le Centre Chorégraphique National. Au cœur de l’ancien couvent des Ursulines, vous visiterez notamment les deux studios de création et de répétition. L’occasion de rencontrer et de découvrir le travail Trans-Genre de Matthieu Hocquemiller, artiste actuellement en résidence ! |
18:00 | 21 |
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM members. Carré Saint-Anne Espace Dominique Bagouet Double visit of two different exhibitions initiated by the same enthusiast. The first one is set as a showcase of contemporary curiosities and works with four collectors of the city and their artistic choices. The second one explores a leading figure in the regional heritage of modern art: Franco-Polish André Blondel and his Fauvist paintings from 1930 to 1950. La Panacée – Last News from Ether Exhibition Curators : Franck Bauchard & Sébastien Pluot. «Last news from Ether» questions this enigmatic concept to evaluate the complexe effects of these waves on the «global electromagnetic society» where we will live from now on. Art by telephone... recalled Curators: Sébastien Pluot & Fabien Vallos. This exhibition reactivates a selection of works from the legendary exhibition hosted in the Chicago's Museum of Contemporary Art in 1969 and prolongs it until today with new artists proposals. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Carré Saint-Anne Espace Dominique Bagouet Visite double pour deux expositions résolument différentes initiées par le même passionné. L’une se présente comme un gigantesque cabinet de curiosités contemporaines et croise le regard de quatre collectionneurs de la ville au travers de leurs choix artistiques. L’autre explore une figure du patrimoine régional de l’art moderne, le franco-polonais André Blondel et sa peinture aux accents fauvistes des années 1930-1950. La Panacée - exposition dernières nouvelles de l'Ether Commissariat : Franck Bauchard & Sébastien Pluot « Dernières nouvelles de l’Éther » interroge cette notion énigmatique pour évaluer les effets complexes de ces ondes sur la « société électromagnétique globale », dans laquelle nous vivons désormais. Art by telephone... recalled Commissariat : Sébastien Pluot & Fabien Vallos Cette exposition réactive une sélection des œuvres de l’exposition mythique qui s’est tenue au Musée d’Art Contemporain de Chicago en 1969 et la prolonge à ujourd’hui avec des propositions de nouveaux artistes. |
18:00 | 21 |
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
Parcours d'expoPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM members. Carré Saint-Anne Espace Dominique Bagouet Double visit of two different exhibitions initiated by the same enthusiast. The first one is set as a showcase of contemporary curiosities and works with four collectors of the city and their artistic choices. The second one explores a leading figure in the regional heritage of modern art: Franco-Polish André Blondel and his Fauvist paintings from 1930 to 1950. La Panacée – Last News from Ether Exhibition Curators : Franck Bauchard & Sébastien Pluot. «Last news from Ether» questions this enigmatic concept to evaluate the complexe effects of these waves on the «global electromagnetic society» where we will live from now on. Art by telephone... recalled Curators: Sébastien Pluot & Fabien Vallos. This exhibition reactivates a selection of works from the legendary exhibition hosted in the Chicago's Museum of Contemporary Art in 1969 and prolongs it until today with new artists proposals. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles dans le but de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville, une réflexion ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur-mesure pour les membres de l'IETM. Carré Saint-Anne Espace Dominique Bagouet Visite double pour deux expositions résolument différentes initiées par le même passionné. L’une se présente comme un gigantesque cabinet de curiosités contemporaines et croise le regard de quatre collectionneurs de la ville au travers de leurs choix artistiques. L’autre explore une figure du patrimoine régional de l’art moderne, le franco-polonais André Blondel et sa peinture aux accents fauvistes des années 1930-1950. La Panacée - exposition dernières nouvelles de l'Ether Commissariat : Franck Bauchard & Sébastien Pluot « Dernières nouvelles de l’Éther » interroge cette notion énigmatique pour évaluer les effets complexes de ces ondes sur la « société électromagnétique globale », dans laquelle nous vivons désormais. Art by telephone... recalled Commissariat : Sébastien Pluot & Fabien Vallos Cette exposition réactive une sélection des œuvres de l’exposition mythique qui s’est tenue au Musée d’Art Contemporain de Chicago en 1969 et la prolonge à ujourd’hui avec des propositions de nouveaux artistes. |
21:30 | 21 |
TOUR & GustaviaThéâtre des 13 vents
TOUR & GustaviaThéâtre des 13 vents
Association Achles, David Wampach TOUR puts the question of vocal work and breathing at the heart of the play. A small platform is the setting for this solo, completely based on the sounds and gestures made by the dancer. Wheezing, laughter and other organic sounds are exuded at the heart of an open stage. David Wampach is choreographer to his own voice, handling his breath with care and allowing his body to play with the sounds induced by his imagination. An uneasy sound portrait unfolds in TOUR. One of a primal being, overtaken by the incessant and uncontrollable rhythm of the respiratory flow. A Dyonisian being, boiling in an archaic flow, no longer able to communicate through speech. A being that is either on this side of or beyond anything cerebral. Maxime de Bruyn Sabine Seifert, production and distribution Choreography and interpretation: David Wampach Gustavia - Mathilde Monnier & La Ribot The show draws on the world of classical burlesque. Burlesque applies techniques of role-reversal and punch-and-dodge; it is an art of transforming incompetence into competence. It distinguishes burlesque heroes from rebel heroes. It emerges from excess speech as well as from absence of speech. Body-burlesque, however, is rooted in squandered energy, repetition and accident. What is conspicuous in burlesque is hidden in dance, since dance has nothing, or almost nothing, comical about it. Gustavia is a woman’s name, but really just a stage name. Gustavia tries to talk about important subjects that are over her head; timeless classical subjects such as womanhood, death, theater, performance, self-representation, the artist. Through an indirect use of burlesque tools, Gustavia tries to freely describe her profession; sidetracks, worries, catastrophes and joys involving the relationship between contemporary art and life. Anne Fontanesi, Production and Distribution Director By and with: Mathilde Monnier & La Ribot Association Achles, David Wampach TOUR place la question de la respiration et du travail vocal au centre du jeu. Une petite estrade sert d'écrin à un solo bâti tout entier sur la production sonore et gestuelle de son interprète. Du cœur de cette scénographie s'échappent des râles, des rires et autres sons organiques. David Wampach cherche à chorégraphier sa propre voix, manipulant sa respiration et laissant son corps jouer avec l'imaginaire qu'induisent les sons. TOUR dessine ainsi un portrait sonore instable. Celui d'un être primal, envahi par le rythme incessant et incontrôlable de son flux respiratoire. Un être dyonisiaque, bouillonnant de flux archaïques, qui ne parvient plus à communiquer par le discours. Un être qui s'inscrit au-delà ou en deçà de toute cérébralité. Maxime de Bruyn Sabine Seifert, production diffusion Chorégraphie et interprétation : David Wampach Gustavia - Mathilde Monnier & La Ribot Ce spectacle prend appui sur l’univers du burlesque classique. Utilisant les techniques du renversement, du coup et de l’esquive, le burlesque est un art de la transformation de l’incompétence en compétence. Il permet de distinguer les héros burlesques des héros contestataires. Il surgit dans l’excès de parole comme dans son absence. Le burlesque du corps, lui, se niche dans la dépense gratuite, dans la répétition, dans l’accident. Ce qui est nécessairement lisible dans le burlesque est caché dans la danse, puisque cette dernière n‘est pas ou très peu comique par essence. Gustavia est un nom de femme mais surtout un faux nom de scène. Gustavia tente de parler de grands sujets qui la dépassent, des sujets classiques intemporels : la femme, la mort, le théâtre, la représentation, se représenter, l’artiste. À travers une utilisation détournée des outils du burlesque, Gustavia tente de parler librement de son métier ; dérives, inquiétudes, catastrophes et bonheurs des rapports de l’art contemporain et de la vie.
Anne Fontanesi, directrice de production et diffusion
Anne Bautz, chargée de production et de diffusion
Coproductions
Festival Montpellier Danse 2008 • Centre Pompidou, Les spectacles vivants / Festival d'Automne / Théâtre de la Ville – Paris • Centre de développement chorégraphique, Toulouse / Midi-Pyrénées • Culturgest Lisbonne • La Comédie de Genève • Mercat de les flors, Barcelone • La Ribot Genève • Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon. Pour ce projet, La Ribot est soutenue par Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture et la République, et Canton de Genève et la Ville de Genève - Département de la culture."
De et avec : Mathilde Monnier & La Ribot
Lumière : Eric Wurtz
Réalisation sonore : Olivier Renouf
Collaboration scénique : Annie Tolleter
Costumes : Dominique Fabrègue assistée de : Laurence Alquier
Direction technique : Thierry Cabrera
Régie générale : Marc Coudrais
Régie plateau : Jean-Christophe Minart
Extraits musicaux : Mouse on mars, Squarepusher, Cristian Vogel, Matthew Shipp, Olivier Renouf
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21:30 | 21 |
TOUR & GustaviaThéâtre des 13 vents
TOUR & GustaviaThéâtre des 13 vents
Association Achles, David Wampach TOUR puts the question of vocal work and breathing at the heart of the play. A small platform is the setting for this solo, completely based on the sounds and gestures made by the dancer. Wheezing, laughter and other organic sounds are exuded at the heart of an open stage. David Wampach is choreographer to his own voice, handling his breath with care and allowing his body to play with the sounds induced by his imagination. An uneasy sound portrait unfolds in TOUR. One of a primal being, overtaken by the incessant and uncontrollable rhythm of the respiratory flow. A Dyonisian being, boiling in an archaic flow, no longer able to communicate through speech. A being that is either on this side of or beyond anything cerebral. Maxime de Bruyn Sabine Seifert, production and distribution Choreography and interpretation: David Wampach Gustavia - Mathilde Monnier & La Ribot The show draws on the world of classical burlesque. Burlesque applies techniques of role-reversal and punch-and-dodge; it is an art of transforming incompetence into competence. It distinguishes burlesque heroes from rebel heroes. It emerges from excess speech as well as from absence of speech. Body-burlesque, however, is rooted in squandered energy, repetition and accident. What is conspicuous in burlesque is hidden in dance, since dance has nothing, or almost nothing, comical about it. Gustavia is a woman’s name, but really just a stage name. Gustavia tries to talk about important subjects that are over her head; timeless classical subjects such as womanhood, death, theater, performance, self-representation, the artist. Through an indirect use of burlesque tools, Gustavia tries to freely describe her profession; sidetracks, worries, catastrophes and joys involving the relationship between contemporary art and life. Anne Fontanesi, Production and Distribution Director By and with: Mathilde Monnier & La Ribot Association Achles, David Wampach TOUR place la question de la respiration et du travail vocal au centre du jeu. Une petite estrade sert d'écrin à un solo bâti tout entier sur la production sonore et gestuelle de son interprète. Du cœur de cette scénographie s'échappent des râles, des rires et autres sons organiques. David Wampach cherche à chorégraphier sa propre voix, manipulant sa respiration et laissant son corps jouer avec l'imaginaire qu'induisent les sons. TOUR dessine ainsi un portrait sonore instable. Celui d'un être primal, envahi par le rythme incessant et incontrôlable de son flux respiratoire. Un être dyonisiaque, bouillonnant de flux archaïques, qui ne parvient plus à communiquer par le discours. Un être qui s'inscrit au-delà ou en deçà de toute cérébralité. Maxime de Bruyn Sabine Seifert, production diffusion Chorégraphie et interprétation : David Wampach Gustavia - Mathilde Monnier & La Ribot Ce spectacle prend appui sur l’univers du burlesque classique. Utilisant les techniques du renversement, du coup et de l’esquive, le burlesque est un art de la transformation de l’incompétence en compétence. Il permet de distinguer les héros burlesques des héros contestataires. Il surgit dans l’excès de parole comme dans son absence. Le burlesque du corps, lui, se niche dans la dépense gratuite, dans la répétition, dans l’accident. Ce qui est nécessairement lisible dans le burlesque est caché dans la danse, puisque cette dernière n‘est pas ou très peu comique par essence. Gustavia est un nom de femme mais surtout un faux nom de scène. Gustavia tente de parler de grands sujets qui la dépassent, des sujets classiques intemporels : la femme, la mort, le théâtre, la représentation, se représenter, l’artiste. À travers une utilisation détournée des outils du burlesque, Gustavia tente de parler librement de son métier ; dérives, inquiétudes, catastrophes et bonheurs des rapports de l’art contemporain et de la vie.
Anne Fontanesi, directrice de production et diffusion
Anne Bautz, chargée de production et de diffusion
Coproductions
Festival Montpellier Danse 2008 • Centre Pompidou, Les spectacles vivants / Festival d'Automne / Théâtre de la Ville – Paris • Centre de développement chorégraphique, Toulouse / Midi-Pyrénées • Culturgest Lisbonne • La Comédie de Genève • Mercat de les flors, Barcelone • La Ribot Genève • Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon. Pour ce projet, La Ribot est soutenue par Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture et la République, et Canton de Genève et la Ville de Genève - Département de la culture."
De et avec : Mathilde Monnier & La Ribot
Lumière : Eric Wurtz
Réalisation sonore : Olivier Renouf
Collaboration scénique : Annie Tolleter
Costumes : Dominique Fabrègue assistée de : Laurence Alquier
Direction technique : Thierry Cabrera
Régie générale : Marc Coudrais
Régie plateau : Jean-Christophe Minart
Extraits musicaux : Mouse on mars, Squarepusher, Cristian Vogel, Matthew Shipp, Olivier Renouf
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22:00 | 21 |
Angelus NovissimusThéâtre La Vignette
Angelus NovissimusThéâtre La Vignette
A story of angels, featuring some lonely characters with their profiles, logins and unlikely avatars, scattered in various places, real or virtual, material or electronic, but permanently linked – that’s the etymology of the word ‘religion’ – by the means of tele-presence. The play is performed on three stages simultaneously, in three differently sized places of varying nature, close to and/or distant from each other, in France or abroad. Quasi and its “data drama” propose to share the experience of their first public device for networking through games, the theater and humanity. A story of angels and loneliness in the vicinity of “sociology of the imaginary”, performed by a community of loners and their avatars, scattered on various simultaneous stages, in several places, real or virtual, material or electronic, but permanently linked by pictures and the internet. It is a reflection of uses and users of sociality at a distance, a kind of presence towards the other, wherein reality is questioned as a combination of doing and imagining doing, on a cloud of transfer and communication. On each of these three stages, an actor is physically present, connected to the other two, as well as to filmed and drawn characters, by the means of tele-presence. Quasi Cie - Alain Béhar Co-production: Quasi Cie • Bois de L'Aune, Artistic and Cultural department of Communauté du Pays d’Aix • M2F Marseille Provence 2013 Creation, European Capital of Culture • Le Périscope, Nîmes. Stage Director: Alain Béhar Une histoire d’anges avec des personnages solitaires, leurs profils, leurs identifiants et leurs improbables «avatars», disséminés dans divers lieux réels ou virtuels, matériels ou électroniques, mais reliés – c’est l’étymologie du mot « religion » – en permanence par les moyens de la télé-présence. La représentation se joue sur trois espaces interconnectés où tout le monde voit ensemble un seul et même spectacle selon trois points de vue – dans trois lieux proches et/ou éloignés les uns des autres, en France ou à l’étranger, de taille et de nature diverses. Quasi et son « théâtre des données » nous proposent de partager la première expérience publique d’un dispositif de jeux, de théâtre et d’humanité en réseau. Une histoire d’anges et de solitude, au voisinage de la "sociologie de l’imaginaire", interprétée par une communauté de solitaires et leurs avatars disséminés sur plusieurs scènes simultanées, dans divers lieux réels ou virtuels, matériels ou électroniques, mais reliés en permanence par l’image et par internet. Une réflexion autour des usages et des usagers de socialité à distance, cette sorte de présence à l’autre, où il est question de la réalité comme d’une combinaison entre faire et imaginer faire, sur un nuage de déplacement et de communication. Sur chacun de ces trois plateaux, il y a un acteur physiquement présent en lien avec les deux autres par les moyens de la télé-présence ainsi qu'avec d'autres personnages filmés ou dessinés. Quasi Cie - Alain Béhar Coproductions: Compagnie Quasi • Bois de L'Aune, Pôle artistique et culturel de la Communauté du Pays d’Aix • M2F Créations Marseille Provence 2013, Capitale européenne de la culture • Le Périscope, Nîmes. Mise en scène : Alain Béhar |
22:00 | 21 |
Angelus NovissimusThéâtre La Vignette
Angelus NovissimusThéâtre La Vignette
A story of angels, featuring some lonely characters with their profiles, logins and unlikely avatars, scattered in various places, real or virtual, material or electronic, but permanently linked – that’s the etymology of the word ‘religion’ – by the means of tele-presence. The play is performed on three stages simultaneously, in three differently sized places of varying nature, close to and/or distant from each other, in France or abroad. Quasi and its “data drama” propose to share the experience of their first public device for networking through games, the theater and humanity. A story of angels and loneliness in the vicinity of “sociology of the imaginary”, performed by a community of loners and their avatars, scattered on various simultaneous stages, in several places, real or virtual, material or electronic, but permanently linked by pictures and the internet. It is a reflection of uses and users of sociality at a distance, a kind of presence towards the other, wherein reality is questioned as a combination of doing and imagining doing, on a cloud of transfer and communication. On each of these three stages, an actor is physically present, connected to the other two, as well as to filmed and drawn characters, by the means of tele-presence. Quasi Cie - Alain Béhar Co-production: Quasi Cie • Bois de L'Aune, Artistic and Cultural department of Communauté du Pays d’Aix • M2F Marseille Provence 2013 Creation, European Capital of Culture • Le Périscope, Nîmes. Stage Director: Alain Béhar Une histoire d’anges avec des personnages solitaires, leurs profils, leurs identifiants et leurs improbables «avatars», disséminés dans divers lieux réels ou virtuels, matériels ou électroniques, mais reliés – c’est l’étymologie du mot « religion » – en permanence par les moyens de la télé-présence. La représentation se joue sur trois espaces interconnectés où tout le monde voit ensemble un seul et même spectacle selon trois points de vue – dans trois lieux proches et/ou éloignés les uns des autres, en France ou à l’étranger, de taille et de nature diverses. Quasi et son « théâtre des données » nous proposent de partager la première expérience publique d’un dispositif de jeux, de théâtre et d’humanité en réseau. Une histoire d’anges et de solitude, au voisinage de la "sociologie de l’imaginaire", interprétée par une communauté de solitaires et leurs avatars disséminés sur plusieurs scènes simultanées, dans divers lieux réels ou virtuels, matériels ou électroniques, mais reliés en permanence par l’image et par internet. Une réflexion autour des usages et des usagers de socialité à distance, cette sorte de présence à l’autre, où il est question de la réalité comme d’une combinaison entre faire et imaginer faire, sur un nuage de déplacement et de communication. Sur chacun de ces trois plateaux, il y a un acteur physiquement présent en lien avec les deux autres par les moyens de la télé-présence ainsi qu'avec d'autres personnages filmés ou dessinés. Quasi Cie - Alain Béhar Coproductions: Compagnie Quasi • Bois de L'Aune, Pôle artistique et culturel de la Communauté du Pays d’Aix • M2F Créations Marseille Provence 2013, Capitale européenne de la culture • Le Périscope, Nîmes. Mise en scène : Alain Béhar |
22:30 | 21 |
A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée *Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin La Grande Mêlée *D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin |
22:30 | 21 |
A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée *Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin La Grande Mêlée *D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin |
22:30 | 21 |
Cinema from B-Z (EN)La Panacée - Auditorium
La série Z sur le gâteau (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. Cinema from B-Z Pierre Alferi What do albino gorillas, a prehistoric sex bomb and a cannibal sacristan have in common? The movies devoted to them do not belong to the same genre, the same era, or the same continent. And yet, they all have common traits giving them a family resemblance, an almost “psychotronic” air: a ludicrous script, risqué subject matter, chaotic filming, not-so-special effects, and ridiculous acting. What came to be known in the 60s as “Z movies” is the vanishing point for several dark corridors of film production. But, today, the term can also be used to pay homage to the imaginative treasure trove of tricks used to hide miserably low budgets, lurid stories taken from the press, explosive themes, strange fashions, and subjects that were far too taboo for the big studios. Preaching in the desert of neighbourhood theatres, a lot of “Z movies” turned out to be quite prophetic. Pierre Alferi is the author of nearly fifteen books of poetry, novels and essays (most of them through French publishing company P.O.L), but also experimental films and sound pieces, image books and posters. ©Visuals: Cédric Scandella Production: SuperTalk SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. La série Z sur le gâteau Pierre Alferi Quoi de commun entre un gorille albinos, une bombe sexuelle préhistorique et un sacristain cannibale ? Les films qui leur furent consacrés ne sont ni du même genre, ni de la même époque, ni du même continent. Chacun possède pourtant des traits communs où s’accroche un air de famille, un air « psychotronique » : scénario abracadabrant, sujet scabreux, filmage foutraque, effets très peu spéciaux, interprétation ridicule. Ce qui fut nommé, dès les années 60, « la série Z » est le point de fuite de plusieurs corridors obscurs de la production cinématographique. Mais le terme peut aujourd’hui rendre hommage aux trésors de fantaisie déployés pour cacher la misère et s’emparer de faits divers, de thèmes explosifs, de modes bizarres et autres sujets tabous pour les grands studios. En prêchant dans le désert des salles de quartier, beaucoup de « séries Z » se sont révélées prophétiques. Pierre Alferi est l’auteur d’une quinzaine de livres de poésie, de romans et d’essais, mais aussi de films expérimentaux et de pièces sonores, de livres d’images et d’affiches. ©Visuels : Cédric Scandella |
22:30 | 21 |
Cinema from B-Z (EN)La Panacée - Auditorium
La série Z sur le gâteau (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. Cinema from B-Z Pierre Alferi What do albino gorillas, a prehistoric sex bomb and a cannibal sacristan have in common? The movies devoted to them do not belong to the same genre, the same era, or the same continent. And yet, they all have common traits giving them a family resemblance, an almost “psychotronic” air: a ludicrous script, risqué subject matter, chaotic filming, not-so-special effects, and ridiculous acting. What came to be known in the 60s as “Z movies” is the vanishing point for several dark corridors of film production. But, today, the term can also be used to pay homage to the imaginative treasure trove of tricks used to hide miserably low budgets, lurid stories taken from the press, explosive themes, strange fashions, and subjects that were far too taboo for the big studios. Preaching in the desert of neighbourhood theatres, a lot of “Z movies” turned out to be quite prophetic. Pierre Alferi is the author of nearly fifteen books of poetry, novels and essays (most of them through French publishing company P.O.L), but also experimental films and sound pieces, image books and posters. ©Visuals: Cédric Scandella Production: SuperTalk SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. La série Z sur le gâteau Pierre Alferi Quoi de commun entre un gorille albinos, une bombe sexuelle préhistorique et un sacristain cannibale ? Les films qui leur furent consacrés ne sont ni du même genre, ni de la même époque, ni du même continent. Chacun possède pourtant des traits communs où s’accroche un air de famille, un air « psychotronique » : scénario abracadabrant, sujet scabreux, filmage foutraque, effets très peu spéciaux, interprétation ridicule. Ce qui fut nommé, dès les années 60, « la série Z » est le point de fuite de plusieurs corridors obscurs de la production cinématographique. Mais le terme peut aujourd’hui rendre hommage aux trésors de fantaisie déployés pour cacher la misère et s’emparer de faits divers, de thèmes explosifs, de modes bizarres et autres sujets tabous pour les grands studios. En prêchant dans le désert des salles de quartier, beaucoup de « séries Z » se sont révélées prophétiques. Pierre Alferi est l’auteur d’une quinzaine de livres de poésie, de romans et d’essais, mais aussi de films expérimentaux et de pièces sonores, de livres d’images et d’affiches. ©Visuels : Cédric Scandella |
23:00 | 21 |
Numax-Fagor-plus (FR)Maison pour Tous Voltaire
Numax-Fagor-plus (FR)Maison pour Tous Voltaire
Roger Bernat / FFF In 1979, after two and a half years of self-management, the workers at the Numax electrical appliance factory in Barcelona decide to leave the company and join the unemployed. Thirty-two years later, in 2013, the Basque electrical appliance cooperative Fagor closes its doors, leaving its employees in the street. Like those that perform re-enactments of the battle of Waterloo, the employees of Fagor reconstruct the history of the Numax workers. Rather than the charismatic reinterpretation for our context of a battle won or lost, Numax-Fagor-plus is the collectivisation of a discourse, the development of a battle that clearly never ended. The discourse still belongs to everyone, and yet when we go to chant words of protest, we realise that we cannot remember them. It is the words that remind us. Helena Febrés, distribution/production • febres@rogerbernat.info Production: Elèctrica Produccions Author: Roger Bernat En 1979, après deux ans et demi d’autogestion, les travailleurs de l’usine barcelonaise d’électroménager Numax décident d’abandonner l’entreprise et de s’inscrire au chômage. 34 ans plus tard, en 2013, la coopérative basque d’électroménager Fagor ferme ses portes, laissant ses travailleurs sur le pavé. Comme en un reenactment de la bataille de Waterloo, les travailleurs de Fagor reconstituent l’histoire des travailleurs de Numax. Loin d’être la mise à jour charismatique d’une bataille gagnée ou perdue, Numax-Fagor-plus est la collectivisation d’un discours, la mise au point d’une bataille qui, bien évidemment, n’a jamais pris fin. Le discours appartient encore à tout le monde et, pourtant, lorsqu’on reprend les mots de la revendication, on s’aperçoit qu’on est incapable de s’en souvenir. C’est la parole qui se souvient de nous tous. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Production: Elèctrica Produccions Auteur: Roger Bernat |
23:00 | 21 |
Numax-Fagor-plus (FR)Maison pour Tous Voltaire
Numax-Fagor-plus (FR)Maison pour Tous Voltaire
Roger Bernat / FFF In 1979, after two and a half years of self-management, the workers at the Numax electrical appliance factory in Barcelona decide to leave the company and join the unemployed. Thirty-two years later, in 2013, the Basque electrical appliance cooperative Fagor closes its doors, leaving its employees in the street. Like those that perform re-enactments of the battle of Waterloo, the employees of Fagor reconstruct the history of the Numax workers. Rather than the charismatic reinterpretation for our context of a battle won or lost, Numax-Fagor-plus is the collectivisation of a discourse, the development of a battle that clearly never ended. The discourse still belongs to everyone, and yet when we go to chant words of protest, we realise that we cannot remember them. It is the words that remind us. Helena Febrés, distribution/production • febres@rogerbernat.info Production: Elèctrica Produccions Author: Roger Bernat En 1979, après deux ans et demi d’autogestion, les travailleurs de l’usine barcelonaise d’électroménager Numax décident d’abandonner l’entreprise et de s’inscrire au chômage. 34 ans plus tard, en 2013, la coopérative basque d’électroménager Fagor ferme ses portes, laissant ses travailleurs sur le pavé. Comme en un reenactment de la bataille de Waterloo, les travailleurs de Fagor reconstituent l’histoire des travailleurs de Numax. Loin d’être la mise à jour charismatique d’une bataille gagnée ou perdue, Numax-Fagor-plus est la collectivisation d’un discours, la mise au point d’une bataille qui, bien évidemment, n’a jamais pris fin. Le discours appartient encore à tout le monde et, pourtant, lorsqu’on reprend les mots de la revendication, on s’aperçoit qu’on est incapable de s’en souvenir. C’est la parole qui se souvient de nous tous. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Production: Elèctrica Produccions Auteur: Roger Bernat |
23:00 | 21 |
Fell/Fall/FallenChai du Terral
Fell/Fall/FallenChai du Terral
For 15 years The Lonely Circus has been creating productions mixing theatre, circus and music. The company presents about 60 performances a year throughout Europe; both in the open-air and in theatres. Fall fell fallen is its sixth production which takes a Dialogue between a circus artist and an electro acoustic musician around balancing games on hand made objects. This production originates from the relationship between a cutting edge contemporary circus artist (Sébastien Le Guen) and a contemporary experimental electro/acoustic musician (Jérôme Hoffmann); and so The Lonely Circus creates an amazing electro/minimal circus. Fall fell fallen, the musical art of falling, a true artistic collaboration between Hoffmann and Le Guen integrating sound and movement with invented musical instruments and falling structures. This is a dialogue about time, humour and balance (a metaphor for life?). This is a strong artistic piece, which appeals to every type of audience. “This aerial and musical ballet portrays a high level of technical mastery: this mix of nonsense, humour and balance brings the art of the circus right up to date.” Midi Libre Sébastien Lhommeau, production and distribution • lonelycircusproduction@gmail.com Production: 2012 Lonely Circus, resident company of Balaruc-les-Bains (Hérault – France) With and by: Jérôme Hoffmann and Sébastien Le Guen Depuis quinze ans, Lonely Circus interroge les rapports entre cirque et théâtre au travers de créations aussi bien pour la salle que pour l’espace public. Fall fell fallen est sa sixième création. Il s’agit d’un dialogue entre un acrobate et un musicien électro autour de jeux d’équilibre et de déséquilibre sur des objets improbables. Née de la rencontre entre un musicien avide d’expérimentation (Jérôme Hoffmann) et un circassien non moins aventureux (Sébastien le Guen), Lonely Circus invente un drôle de cirque électro minimal. Le duo atypique d’un équilibriste avec un univers sonore où les sons issus de la scène se mixent aux platines et à ceux de l’orgue de tiges filetées pour un dialogue sur le fil du rasoir. Entre musique concrète et funambulisme, cette féerie invente sa propre grammaire où les arts se croisent, la lumière étant le troisième acteur de cette scénographie inventive. Un bel engagement artistique pour un spectacle total et tout public. « Ce ballet aérien et sonore demande une maîtrise et une technique de très haut niveau. Ce mélange d'humour, d'absurde et d'acrobatie renouvelle complètement l'art du cirque. » Midi-Libre Sébastien Lhommeau, production et diffusion • lonelycircusproduction@gmail.com Production: Lonely Circus 2012, compagnie en résidence à Balaruc-les-Bains Auteurs et interprètes: Jérôme Hoffmann et Sébastien Le Guen |
23:00 | 21 |
Fell/Fall/FallenChai du Terral
Fell/Fall/FallenChai du Terral
For 15 years The Lonely Circus has been creating productions mixing theatre, circus and music. The company presents about 60 performances a year throughout Europe; both in the open-air and in theatres. Fall fell fallen is its sixth production which takes a Dialogue between a circus artist and an electro acoustic musician around balancing games on hand made objects. This production originates from the relationship between a cutting edge contemporary circus artist (Sébastien Le Guen) and a contemporary experimental electro/acoustic musician (Jérôme Hoffmann); and so The Lonely Circus creates an amazing electro/minimal circus. Fall fell fallen, the musical art of falling, a true artistic collaboration between Hoffmann and Le Guen integrating sound and movement with invented musical instruments and falling structures. This is a dialogue about time, humour and balance (a metaphor for life?). This is a strong artistic piece, which appeals to every type of audience. “This aerial and musical ballet portrays a high level of technical mastery: this mix of nonsense, humour and balance brings the art of the circus right up to date.” Midi Libre Sébastien Lhommeau, production and distribution • lonelycircusproduction@gmail.com Production: 2012 Lonely Circus, resident company of Balaruc-les-Bains (Hérault – France) With and by: Jérôme Hoffmann and Sébastien Le Guen Depuis quinze ans, Lonely Circus interroge les rapports entre cirque et théâtre au travers de créations aussi bien pour la salle que pour l’espace public. Fall fell fallen est sa sixième création. Il s’agit d’un dialogue entre un acrobate et un musicien électro autour de jeux d’équilibre et de déséquilibre sur des objets improbables. Née de la rencontre entre un musicien avide d’expérimentation (Jérôme Hoffmann) et un circassien non moins aventureux (Sébastien le Guen), Lonely Circus invente un drôle de cirque électro minimal. Le duo atypique d’un équilibriste avec un univers sonore où les sons issus de la scène se mixent aux platines et à ceux de l’orgue de tiges filetées pour un dialogue sur le fil du rasoir. Entre musique concrète et funambulisme, cette féerie invente sa propre grammaire où les arts se croisent, la lumière étant le troisième acteur de cette scénographie inventive. Un bel engagement artistique pour un spectacle total et tout public. « Ce ballet aérien et sonore demande une maîtrise et une technique de très haut niveau. Ce mélange d'humour, d'absurde et d'acrobatie renouvelle complètement l'art du cirque. » Midi-Libre Sébastien Lhommeau, production et diffusion • lonelycircusproduction@gmail.com Production: Lonely Circus 2012, compagnie en résidence à Balaruc-les-Bains Auteurs et interprètes: Jérôme Hoffmann et Sébastien Le Guen |
00:00 | 21 |
DeblozayZAT
DeblozayZAT
Deblozay could haunt the streets of Montpellier city centre on Wednesday, 16 and Tuesday, 17 April in the evening: where and when? Stay in tune... These spectres would announce a “large-framed” version of Deblozay Curated for Saturday, 19 April at night in the Parc Malbosc, during the ZAT. Production & distribution: Virginie Carter rarawoulib@gmail.com www.rarawoulib.org Curated in the first part of ZAT, City of Montpellier Des ombres dansent à un carrefour, on sent leur présence derrière un mur, on entend un rire au coin d’une rue. Lentement, elles s’emparent du béton, le rythme syncopé de leurs tambours et les mélodies enivrantes de leurs trompes nous transportent de l’autre côté... Deblozay (« désordre » en créole haïtien) est un cheminement à travers la mémoire de la ville et de ses habitants. Les guédés, mystérieux revenants, nous emmènent à la recherche des traces du passé. Objet théâtral hybride, Deblozay nous convie à la redécouverte des lieux oubliés de la ville, et rend visible ce qui, au quotidien, reste invisible, dans ce court intervalle de rêve. Au cours d’un voyage insolite vers une destination inconnue, Rara Woulib nous entraîne, à travers une épopée secrète, au cœur de la nuit. Dans la soirée, Deblozay va hanter les rues du centre ville de Montpellier... Ces apparitions nocturnes nous préparent à la grande nuit de la ZAT du samedi 19 avril de 20h à l’aube au parc Malbosc. Production Rara Woulib Coproduction Lieux publics • Atelier 231 • Projet META in situ |
00:00 | 21 |
DeblozayZAT
DeblozayZAT
Deblozay could haunt the streets of Montpellier city centre on Wednesday, 16 and Tuesday, 17 April in the evening: where and when? Stay in tune... These spectres would announce a “large-framed” version of Deblozay Curated for Saturday, 19 April at night in the Parc Malbosc, during the ZAT. Production & distribution: Virginie Carter rarawoulib@gmail.com www.rarawoulib.org Curated in the first part of ZAT, City of Montpellier Des ombres dansent à un carrefour, on sent leur présence derrière un mur, on entend un rire au coin d’une rue. Lentement, elles s’emparent du béton, le rythme syncopé de leurs tambours et les mélodies enivrantes de leurs trompes nous transportent de l’autre côté... Deblozay (« désordre » en créole haïtien) est un cheminement à travers la mémoire de la ville et de ses habitants. Les guédés, mystérieux revenants, nous emmènent à la recherche des traces du passé. Objet théâtral hybride, Deblozay nous convie à la redécouverte des lieux oubliés de la ville, et rend visible ce qui, au quotidien, reste invisible, dans ce court intervalle de rêve. Au cours d’un voyage insolite vers une destination inconnue, Rara Woulib nous entraîne, à travers une épopée secrète, au cœur de la nuit. Dans la soirée, Deblozay va hanter les rues du centre ville de Montpellier... Ces apparitions nocturnes nous préparent à la grande nuit de la ZAT du samedi 19 avril de 20h à l’aube au parc Malbosc. Production Rara Woulib Coproduction Lieux publics • Atelier 231 • Projet META in situ |
12:00 | 21 |
Mouvements sur la villePoint of departure: La Panacée
Mouvements sur la villePoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Dance Visit: Mouvements on the town Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Visite Danse : Mouvements sur la ville |
12:00 | 21 |
Mouvements sur la villePoint of departure: La Panacée
Mouvements sur la villePoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Dance Visit: Mouvements on the town Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Visite Danse : Mouvements sur la ville |
16:00 | 21 |
TripleLa Panacée
TripleLa Panacée
Cie LOLdanse Triple is a reworking of an older piece, Marine, which has followed us around for a number of years. This more complex form reveals more of the project’s internal construction, whose choreographic part is based on random choices within a given set of strictly defined possibilities. These possibilities are too numerous to fit within the length of the piece, so the entire set of elements is never fully used in a single performance. For this reworking, we decided to put forth – or allow to be sensed – THREE simultaneous executions of a single proposal, which were by nature different, yet fundamentally identical and linked to each other. The three dancers are positioned independently of each other in three spaces, which, although they can be seen at the same time, force spectators to readjust their vision so that not everything can be seen at the same time. The music – a long electronic build-up of 666 “pure” sounds – is “almost” the same for the three spaces, aside from a small time lag varying over a span of a few tenths of a second, creating the effect of the three spaces continually chasing each other, doubling up, and responding to each other. Damien Valette • distribution/production valette.d@gmail.com Choreographic composition : Myriam Gourfink Loldanse is supported by the Ministry of Culture and Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/Loldanse in residency at Forum, subsidised theatre of the Blanc Mesnil supported by Département de la Seine-Saint-Denis Cie LOLdanse Triple est une réactualisation d'un travail plus ancien, Marine, que nous avons grand plaisir à revisiter. Pour cette forme, plus complexe, mais dévoilant plus de la construction interne du projet (qui est basé, pour sa partie chorégraphique, sur des choix aléatoires dans un ensemble de possibles strictement notés, dont la somme dépasse largement la durée de la pièce, donc dont tous les éléments ne sont jamais dansés lors d'une représentation) le choix a été fait de donner à voir – ou percevoir – TROIS réalisations simultanées de la même proposition : forcément différentes, mais fondamentalement imbriquées et identiques – comme trois chemins indépendants choisis sur une carte commune. Les trois danseuses sont placées indépendamment, dans trois espaces que l'on peut peut-être voir en même temps mais aussi, mieux, qui obligent à un déplacement et ne permettent pas de tout voir dans le même regard ; et c'est le déplacement et l'imagination du spectateur qui recréent l'ensemble, à partir des bribes perçues. Chaque danseuse est au centre d'un cercle de 2 m de diamètre, délimité par deux haut-parleurs, n'imposant pas une vision unique ni frontale de son univers. La musique – une longue montée électronique formée de 666 sons "purs" – est "presque" la même pour les trois espaces, excepté un léger jeu de décalages temporels variant en continu sur quelques centaines de millisecondes, faisant ainsi les trois espaces se courir après, se doubler et se répondre en permanence. La durée de la musique est de 28 minutes et 58 secondes, la danse peut être légèrement plus longue ou plus courte de quelques 20 secondes. Damien Valette, diffusion, production • valette.d@gmail.com Ecriture de la partition chorégraphique : Myriam Gourfink Danse : Myriam Gourfink, Cindy van Acker et Carole Garriga L’association Loldanse est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/association Loldanse est en résidence au Forum, Scène conventionnée du Blanc-Mesnil avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis |
16:00 | 21 |
TripleLa Panacée
TripleLa Panacée
Cie LOLdanse Triple is a reworking of an older piece, Marine, which has followed us around for a number of years. This more complex form reveals more of the project’s internal construction, whose choreographic part is based on random choices within a given set of strictly defined possibilities. These possibilities are too numerous to fit within the length of the piece, so the entire set of elements is never fully used in a single performance. For this reworking, we decided to put forth – or allow to be sensed – THREE simultaneous executions of a single proposal, which were by nature different, yet fundamentally identical and linked to each other. The three dancers are positioned independently of each other in three spaces, which, although they can be seen at the same time, force spectators to readjust their vision so that not everything can be seen at the same time. The music – a long electronic build-up of 666 “pure” sounds – is “almost” the same for the three spaces, aside from a small time lag varying over a span of a few tenths of a second, creating the effect of the three spaces continually chasing each other, doubling up, and responding to each other. Damien Valette • distribution/production valette.d@gmail.com Choreographic composition : Myriam Gourfink Loldanse is supported by the Ministry of Culture and Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/Loldanse in residency at Forum, subsidised theatre of the Blanc Mesnil supported by Département de la Seine-Saint-Denis Cie LOLdanse Triple est une réactualisation d'un travail plus ancien, Marine, que nous avons grand plaisir à revisiter. Pour cette forme, plus complexe, mais dévoilant plus de la construction interne du projet (qui est basé, pour sa partie chorégraphique, sur des choix aléatoires dans un ensemble de possibles strictement notés, dont la somme dépasse largement la durée de la pièce, donc dont tous les éléments ne sont jamais dansés lors d'une représentation) le choix a été fait de donner à voir – ou percevoir – TROIS réalisations simultanées de la même proposition : forcément différentes, mais fondamentalement imbriquées et identiques – comme trois chemins indépendants choisis sur une carte commune. Les trois danseuses sont placées indépendamment, dans trois espaces que l'on peut peut-être voir en même temps mais aussi, mieux, qui obligent à un déplacement et ne permettent pas de tout voir dans le même regard ; et c'est le déplacement et l'imagination du spectateur qui recréent l'ensemble, à partir des bribes perçues. Chaque danseuse est au centre d'un cercle de 2 m de diamètre, délimité par deux haut-parleurs, n'imposant pas une vision unique ni frontale de son univers. La musique – une longue montée électronique formée de 666 sons "purs" – est "presque" la même pour les trois espaces, excepté un léger jeu de décalages temporels variant en continu sur quelques centaines de millisecondes, faisant ainsi les trois espaces se courir après, se doubler et se répondre en permanence. La durée de la musique est de 28 minutes et 58 secondes, la danse peut être légèrement plus longue ou plus courte de quelques 20 secondes. Damien Valette, diffusion, production • valette.d@gmail.com Ecriture de la partition chorégraphique : Myriam Gourfink Danse : Myriam Gourfink, Cindy van Acker et Carole Garriga L’association Loldanse est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/association Loldanse est en résidence au Forum, Scène conventionnée du Blanc-Mesnil avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis |
18:30 | 21 |
La ChapellePoint of departure: La Panacée
La ChapellePoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Visit la Chapelle, an ancient church transformed into a cultural place, at the heart of a Montpellier gypsy neighbourhood. Discover this atypical place, its neighbourhood and the three-dimensional scenic place specially conceived for the occasion. Come at teatime to meet the team and the partners and think about new working relations! Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Visitez la Chapelle, ancienne église reconvertie en lieu culturel, au coeur d'un quartier gitan de Montpellier. Découvrez ce lieu atypique, immergez-vous dans l'atmosphère de son quartier, dans son espace scénique tri-dimensionnel spécialement conçu pour l'occasion. Venez partager le thé en compagnie de l'équipe et de ses nombreux partenaires pour imaginer avec eux de nouvelles relations de travail ! |
18:30 | 21 |
La ChapellePoint of departure: La Panacée
La ChapellePoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Visit la Chapelle, an ancient church transformed into a cultural place, at the heart of a Montpellier gypsy neighbourhood. Discover this atypical place, its neighbourhood and the three-dimensional scenic place specially conceived for the occasion. Come at teatime to meet the team and the partners and think about new working relations! Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Visitez la Chapelle, ancienne église reconvertie en lieu culturel, au coeur d'un quartier gitan de Montpellier. Découvrez ce lieu atypique, immergez-vous dans l'atmosphère de son quartier, dans son espace scénique tri-dimensionnel spécialement conçu pour l'occasion. Venez partager le thé en compagnie de l'équipe et de ses nombreux partenaires pour imaginer avec eux de nouvelles relations de travail ! |
19:30 | 21 |
Ether: Wifi, from antiquity to today (EN)La Panacée - Auditorium
Ether: Le Wifi, de l’Antiquité à nos jours (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. (Ether) Wifi, from antiquity to today Marie Lechner With or without a €30/month plan, several billions of times per second, billions of different messages pass through each and every one of us: ultrasounds tickling the cat at our feet, ultra-rapidly blinking colours, elementary particles shooting out of the Sun, telephone conversations from your next-door neighbour, entire series of bits hijacked by the NSA, voices from the dead buried in radio static, indiscernible salutations from extra-terrestrials… The air we breathe is an opaque smoke full of meaning that transparent Indians use to greet us. Adam Greenfield, author of Everyware, a book exploring ubiquitous computing, highlights the necessity of having “translators, people capable of opening these occult systems, demystifying them, explaining their implications to people whose environment and lives are more and more conditioned by them.” Artists and hackers, wave-tweakers and Ghostbusters work to reveal the invisible, to make us feel the electromagnetic flux running through our flesh. By examining the countless ways we are wirelessly tied to the world, we might be able to begin imagining the impalpable surrounding us – what was called Ether in the past, and is now on special in every pay-as-you-go 4G plan. Marie Lechner is a journalist for the French newspaper Libération. For the past fifteen years, she has followed the evolution of digital culture. © Visuals: Cédric Scandella Production: SuperTalk SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. (Ether) Le Wifi, de l’Antiquité à nos jours Marie Lechner Avec ou sans forfait à 30 € par mois, chacun d'entre nous est traversé des milliards de fois par seconde par des milliards de messages en tout genre : ultrasons excitant le chat à nos pieds, clignotement ultrarapide des couleurs aux alentours, particules élémentaires tout juste éjectées du soleil, conversation téléphonique du voisin de droite, série de bits détournée par la NSA, voix des morts au fond de la radio, salutations extra-terrestres indiscernables… L'air que nous respirons est une fumée opaque pleine de sens avec laquelle des Indiens transparents nous font signe. Adam Greenfield, auteur d'Everyware, consacré à l'informatique ubiquiste, souligne la nécessité d'avoir des « traducteurs, des gens capables d'ouvrir ces systèmes occultes, de les démystifier, d'expliquer leurs implications aux gens dont l'environnement et les vies sont de plus en plus conditionnées par elles ». Artistes et hackeurs, bidouilleurs d'ondes et ghostbusters s'emploient à révéler l'invisible, à nous faire ressentir les flux électromagnétiques jusque dans nos chairs. En examinant les innombrables "sans fil" qui nous relient au monde, on se figurera peut-être un peu mieux l'impalpable qui nous enveloppe – appelée autrefois éther – aujourd'hui en promo dans toutes les offres 4G sans engagement. Marie Lechner est journaliste à Libération. Elle suit depuis quinze ans les cultures numériques. © Visuels : Cédric Scandella Production: SuperTalk |
19:30 | 21 |
Ether: Wifi, from antiquity to today (EN)La Panacée - Auditorium
Ether: Le Wifi, de l’Antiquité à nos jours (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. (Ether) Wifi, from antiquity to today Marie Lechner With or without a €30/month plan, several billions of times per second, billions of different messages pass through each and every one of us: ultrasounds tickling the cat at our feet, ultra-rapidly blinking colours, elementary particles shooting out of the Sun, telephone conversations from your next-door neighbour, entire series of bits hijacked by the NSA, voices from the dead buried in radio static, indiscernible salutations from extra-terrestrials… The air we breathe is an opaque smoke full of meaning that transparent Indians use to greet us. Adam Greenfield, author of Everyware, a book exploring ubiquitous computing, highlights the necessity of having “translators, people capable of opening these occult systems, demystifying them, explaining their implications to people whose environment and lives are more and more conditioned by them.” Artists and hackers, wave-tweakers and Ghostbusters work to reveal the invisible, to make us feel the electromagnetic flux running through our flesh. By examining the countless ways we are wirelessly tied to the world, we might be able to begin imagining the impalpable surrounding us – what was called Ether in the past, and is now on special in every pay-as-you-go 4G plan. Marie Lechner is a journalist for the French newspaper Libération. For the past fifteen years, she has followed the evolution of digital culture. © Visuals: Cédric Scandella Production: SuperTalk SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. (Ether) Le Wifi, de l’Antiquité à nos jours Marie Lechner Avec ou sans forfait à 30 € par mois, chacun d'entre nous est traversé des milliards de fois par seconde par des milliards de messages en tout genre : ultrasons excitant le chat à nos pieds, clignotement ultrarapide des couleurs aux alentours, particules élémentaires tout juste éjectées du soleil, conversation téléphonique du voisin de droite, série de bits détournée par la NSA, voix des morts au fond de la radio, salutations extra-terrestres indiscernables… L'air que nous respirons est une fumée opaque pleine de sens avec laquelle des Indiens transparents nous font signe. Adam Greenfield, auteur d'Everyware, consacré à l'informatique ubiquiste, souligne la nécessité d'avoir des « traducteurs, des gens capables d'ouvrir ces systèmes occultes, de les démystifier, d'expliquer leurs implications aux gens dont l'environnement et les vies sont de plus en plus conditionnées par elles ». Artistes et hackeurs, bidouilleurs d'ondes et ghostbusters s'emploient à révéler l'invisible, à nous faire ressentir les flux électromagnétiques jusque dans nos chairs. En examinant les innombrables "sans fil" qui nous relient au monde, on se figurera peut-être un peu mieux l'impalpable qui nous enveloppe – appelée autrefois éther – aujourd'hui en promo dans toutes les offres 4G sans engagement. Marie Lechner est journaliste à Libération. Elle suit depuis quinze ans les cultures numériques. © Visuels : Cédric Scandella Production: SuperTalk |
19:30 | 21 |
Young AudiencePoint of departure: La Panacée
Jeune PublicPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. The Theatre of Villeneuve-lès-Maguelone, a subsidised theatre for young audiences in Languedoc-Roussillon invites you for a regional wine tasting. On the programme, a visit of the place, a lot of conviviality, informal exchanges among professionals and two performances by the end of the evening. Come and check what goes on in your country for young audiences. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone, scène conventionnée pour les Jeunes Publics en Languedoc-Roussillon vous accueille autour d’une dégustation de vins régionaux. Au menu, une visite du lieu, beaucoup de convivialité, des échanges informels entre professionnels et deux spectacles pour terminer la soirée. Venez faire état de ce qui se passe dans votre pays autour du jeune public. |
19:30 | 21 |
Young AudiencePoint of departure: La Panacée
Jeune PublicPoint of departure: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. The Theatre of Villeneuve-lès-Maguelone, a subsidised theatre for young audiences in Languedoc-Roussillon invites you for a regional wine tasting. On the programme, a visit of the place, a lot of conviviality, informal exchanges among professionals and two performances by the end of the evening. Come and check what goes on in your country for young audiences. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone, scène conventionnée pour les Jeunes Publics en Languedoc-Roussillon vous accueille autour d’une dégustation de vins régionaux. Au menu, une visite du lieu, beaucoup de convivialité, des échanges informels entre professionnels et deux spectacles pour terminer la soirée. Venez faire état de ce qui se passe dans votre pays autour du jeune public. |
20:30 | 21 |
RE-presentation: Numax (EN)La Chapelle
RE-présentation: Numax (EN)La Chapelle
Roger Bernat /FFF In 1979, following two and a half years of strikes, protests and self-governance, the workers at the Numax electrical appliance factory decided to make a film with Joaquim Jordà. Numax collected and listened to the debates from their meetings. RE–presentation: Numax proposes to re-enact them. Re-presentation is a theatrical device used to reconstruct situations. Wikipedia states: “Re-enactment is a method of approaching history that comprises the re-creation of certain aspects of an event, a historical period, or a unique way of life based on original documents. Re-enactment is not new. In the Middle Ages, tournaments were often given Roman themes. The Romans themselves re-enacted famous land or naval battles in the Coliseum. ‘Living history’ is an attempt to bring historic events to life for the public or participants to enjoy.” RE-presentation was proposed in the context of the Pré-fab/Prefab nights, and designed to follow on from the La Soupe américaine/The American Soup exhibition by Jordi Colomer in FRAC Base Normandie, Caen (France). Helena Febrés, management/production • febres@rogerbernat.info Author: Roger Bernat Compagnie: Roger Bernat/FFF En 1979, après deux ans et demi de grèves, de mobilisations et d’autogestion, les ouvriers de l’usine d’électroménager Numax décidèrent de tourner un film avec Joaquim Jordà. Dans ce film – Numax, présenta – sont collectées les discussions des assemblées. RE–présentation: Numax propose de les re-faire. RE-présentation est un dispositif théâtral de re-construction de situations. Wikipédia dit: « La recréation (ou reenactment en anglais) est une méthode d’approximation de l’histoire qui consiste à recréer certains aspects d’un événement, d’une période historique ou d’un mode de vie singulier, en s’appuyant sur des documents originaux. Les activités de recréation ne sont pas nouvelles. Au Moyen-Âge, les tournois reprenaient souvent des thèmes romains. Les Romains eux aussi ont reconstitué des batailles navales ou terrestres fameuses qu’ils montraient comme des spectacles dans le Colisée. Le concept d’histoire vivante décrit les tentatives de rapprocher l’histoire et la vie, ceci pour la jouissance du public ou des participants eux-mêmes ». RE–présentation a été proposée dans le cadre des Soirées Pré-fab/Prefab au FRAC Basse-Normandie, conçues comme une suite de l'exposition « La Soupe américaine »/« The American Soup » de Jordi Colomer. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Pièce de Roger Bernat |
20:30 | 21 |
RE-presentation: Numax (EN)La Chapelle
RE-présentation: Numax (EN)La Chapelle
Roger Bernat /FFF In 1979, following two and a half years of strikes, protests and self-governance, the workers at the Numax electrical appliance factory decided to make a film with Joaquim Jordà. Numax collected and listened to the debates from their meetings. RE–presentation: Numax proposes to re-enact them. Re-presentation is a theatrical device used to reconstruct situations. Wikipedia states: “Re-enactment is a method of approaching history that comprises the re-creation of certain aspects of an event, a historical period, or a unique way of life based on original documents. Re-enactment is not new. In the Middle Ages, tournaments were often given Roman themes. The Romans themselves re-enacted famous land or naval battles in the Coliseum. ‘Living history’ is an attempt to bring historic events to life for the public or participants to enjoy.” RE-presentation was proposed in the context of the Pré-fab/Prefab nights, and designed to follow on from the La Soupe américaine/The American Soup exhibition by Jordi Colomer in FRAC Base Normandie, Caen (France). Helena Febrés, management/production • febres@rogerbernat.info Author: Roger Bernat Compagnie: Roger Bernat/FFF En 1979, après deux ans et demi de grèves, de mobilisations et d’autogestion, les ouvriers de l’usine d’électroménager Numax décidèrent de tourner un film avec Joaquim Jordà. Dans ce film – Numax, présenta – sont collectées les discussions des assemblées. RE–présentation: Numax propose de les re-faire. RE-présentation est un dispositif théâtral de re-construction de situations. Wikipédia dit: « La recréation (ou reenactment en anglais) est une méthode d’approximation de l’histoire qui consiste à recréer certains aspects d’un événement, d’une période historique ou d’un mode de vie singulier, en s’appuyant sur des documents originaux. Les activités de recréation ne sont pas nouvelles. Au Moyen-Âge, les tournois reprenaient souvent des thèmes romains. Les Romains eux aussi ont reconstitué des batailles navales ou terrestres fameuses qu’ils montraient comme des spectacles dans le Colisée. Le concept d’histoire vivante décrit les tentatives de rapprocher l’histoire et la vie, ceci pour la jouissance du public ou des participants eux-mêmes ». RE–présentation a été proposée dans le cadre des Soirées Pré-fab/Prefab au FRAC Basse-Normandie, conçues comme une suite de l'exposition « La Soupe américaine »/« The American Soup » de Jordi Colomer. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Pièce de Roger Bernat |
21:00 | 21 |
Dance #2CCN – Studio Atelier Agora Cité Internationale de la danse
Dance #2CCN – Studio Atelier Agora Cité Internationale de la danse
Eszter Salamon and Christine de Smedt Dance #2 is the sequel of Dance #1/Driftworks, the duet formed in 2007 by Salamon and Smedt (presented at the CCN Montpellier Languedoc-Roussillon in 2008). It looks in greater depth at some aspects explored in the earlier duet, such as the relationship between movement and voice. Through several pieces of various running times, Dance #2 attempts to develop the potential dialogues between two artists mixing words and physical posture to create a new hybrid language. This game could be compared with the invention of a language through collective learning, poetic by-product of any relationship both combining art and love. The audience shares the performers’ space and spreads their body in a horizontal dimension. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *In the context of ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, for the season 2013-2014 of the Montpellier Danse, with the support of Onda and Réseau en scène Languedoc-Roussillon Eszter Salamon et Christine de Smedt Dance #2 est la suite de Dance #1/Driftworks, duo formé en 2007 par Salamon et Smedt (présenté en 2008 au CCN Montpellier Languedoc-Roussillon). Il approfondit certains aspects explorés dans le duo précédent : la relation entre le mouvement et la voix. À travers plusieurs pièces de différentes durées, Dance #2 essaie de développer les possibilités du dialogue entre deux artistes mélangeant mots et attitudes corporelles pour créer un nouveau langage hybride. On pourrait comparer ce jeu à l’invention par l’apprentissage collectif d’une langue, dérivé poétique de toute relation à la fois artistique et amoureuse. Les spectateurs cohabitent dans l’espace des interprètes et égrènent leurs corps dans une dimension horizontale. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *Dans le cadre de ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, pour la saison 2013-2014 de Montpellier Danse, avec le soutien de l’Onda et de Réseau en scène Languedoc-Roussillon |
21:00 | 21 |
A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée *Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin La Grande Mêlée *D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin |
21:00 | 21 |
A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée *Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin La Grande Mêlée *D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin |
21:00 | 21 |
Dance #2CCN – Studio Atelier Agora Cité Internationale de la danse
Dance #2CCN – Studio Atelier Agora Cité Internationale de la danse
Eszter Salamon and Christine de Smedt Dance #2 is the sequel of Dance #1/Driftworks, the duet formed in 2007 by Salamon and Smedt (presented at the CCN Montpellier Languedoc-Roussillon in 2008). It looks in greater depth at some aspects explored in the earlier duet, such as the relationship between movement and voice. Through several pieces of various running times, Dance #2 attempts to develop the potential dialogues between two artists mixing words and physical posture to create a new hybrid language. This game could be compared with the invention of a language through collective learning, poetic by-product of any relationship both combining art and love. The audience shares the performers’ space and spreads their body in a horizontal dimension. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *In the context of ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, for the season 2013-2014 of the Montpellier Danse, with the support of Onda and Réseau en scène Languedoc-Roussillon Eszter Salamon et Christine de Smedt Dance #2 est la suite de Dance #1/Driftworks, duo formé en 2007 par Salamon et Smedt (présenté en 2008 au CCN Montpellier Languedoc-Roussillon). Il approfondit certains aspects explorés dans le duo précédent : la relation entre le mouvement et la voix. À travers plusieurs pièces de différentes durées, Dance #2 essaie de développer les possibilités du dialogue entre deux artistes mélangeant mots et attitudes corporelles pour créer un nouveau langage hybride. On pourrait comparer ce jeu à l’invention par l’apprentissage collectif d’une langue, dérivé poétique de toute relation à la fois artistique et amoureuse. Les spectateurs cohabitent dans l’espace des interprètes et égrènent leurs corps dans une dimension horizontale. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *Dans le cadre de ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, pour la saison 2013-2014 de Montpellier Danse, avec le soutien de l’Onda et de Réseau en scène Languedoc-Roussillon |
21:30 | 21 |
And Blanche tooThéâtre de Villeneuve-lès-Maguelone
Et Blanche aussiThéâtre de Villeneuve-lès-Maguelone
“One day. The show is a melange of theatre, dance and mime, which relies on structured gestures and the poetics of movement.” Maïa Jannel, distribution • diffusion@lesnuitsclaires.fr Co-producion: Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone - subsided theater for the young audience en Languedoc-Roussillon Author: Aurélie Namur “Un jour. Sur scène, la conteuse et la princesse. La première vous raconte l’histoire, la seconde vit et se déploie sous vos yeux. Tantôt la conteuse mène le récit, tantôt elle semble guidée par la princesse. Narration double où l’action de l’une prolonge la parole de l’autre, en donne une traduction inédite, un démenti humoristique. Nous avons voulu un décor immatériel, entièrement figuré par la lumière. Le palais est un lieu concret mais aussi mental. Ainsi le geste dialogue avec l’espace, mais aussi avec les sons, la voix de la conteuse. Il est le centre d’une partition foisonnante, où tout danse... Guidé par la narratrice, le spectateur fait peu à peu sien le langage de la princesse. Voilà pourquoi, Et blanche aussi est également un récit ouvert auquel chacun peut s’identifier. Maïa Jannel, diffusion • diffusion@lesnuitsclaires.fr Coproductions : Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone, Scène conventionnée pour les jeunes publics en Languedoc-Roussillon. Avec l’aide du ministère de la Communauté française de Belgique, Service du Théâtre (Belgique) Auteure : Aurélie Namur |
21:30 | 21 |
And Blanche tooThéâtre de Villeneuve-lès-Maguelone
Et Blanche aussiThéâtre de Villeneuve-lès-Maguelone
“One day. The show is a melange of theatre, dance and mime, which relies on structured gestures and the poetics of movement.” Maïa Jannel, distribution • diffusion@lesnuitsclaires.fr Co-producion: Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone - subsided theater for the young audience en Languedoc-Roussillon Author: Aurélie Namur “Un jour. Sur scène, la conteuse et la princesse. La première vous raconte l’histoire, la seconde vit et se déploie sous vos yeux. Tantôt la conteuse mène le récit, tantôt elle semble guidée par la princesse. Narration double où l’action de l’une prolonge la parole de l’autre, en donne une traduction inédite, un démenti humoristique. Nous avons voulu un décor immatériel, entièrement figuré par la lumière. Le palais est un lieu concret mais aussi mental. Ainsi le geste dialogue avec l’espace, mais aussi avec les sons, la voix de la conteuse. Il est le centre d’une partition foisonnante, où tout danse... Guidé par la narratrice, le spectateur fait peu à peu sien le langage de la princesse. Voilà pourquoi, Et blanche aussi est également un récit ouvert auquel chacun peut s’identifier. Maïa Jannel, diffusion • diffusion@lesnuitsclaires.fr Coproductions : Théâtre de Villeneuve-lès-Maguelone, Scène conventionnée pour les jeunes publics en Languedoc-Roussillon. Avec l’aide du ministère de la Communauté française de Belgique, Service du Théâtre (Belgique) Auteure : Aurélie Namur |
22:30 | 21 |
RE-presentation: Numax (FR)La Chapelle
RE-présentation: Numax (FR)La Chapelle
Roger Bernat /FFF In 1979, following two and a half years of strikes, protests and self-governance, the workers at the Numax electrical appliance factory decided to make a film with Joaquim Jordà. Numax collected and listened to the debates from their meetings. RE–presentation: Numax proposes to re-enact them. Re-presentation is a theatrical device used to reconstruct situations. Wikipedia states: “Re-enactment is a method of approaching history that comprises the re-creation of certain aspects of an event, a historical period, or a unique way of life based on original documents. Re-enactment is not new. In the Middle Ages, tournaments were often given Roman themes. The Romans themselves re-enacted famous land or naval battles in the Coliseum. ‘Living history’ is an attempt to bring historic events to life for the public or participants to enjoy.” RE-presentation was proposed in the context of the Pré-fab/Prefab nights, and designed to follow on from the La Soupe américaine/The American Soup exhibition by Jordi Colomer in FRAC Base Normandie, Caen (France). Helena Febrés, management/production • febres@rogerbernat.info Author: Roger Bernat Compagnie: Roger Bernat/FFF En 1979, après deux ans et demi de grèves, de mobilisations et d’autogestion, les ouvriers de l’usine d’électroménager Numax décidèrent de tourner un film avec Joaquim Jordà. Dans ce film – Numax, présenta – sont collectées les discussions des assemblées. RE–présentation: Numax propose de les re-faire. RE-présentation est un dispositif théâtral de re-construction de situations. Wikipédia dit: « La recréation (ou reenactment en anglais) est une méthode d’approximation de l’histoire qui consiste à recréer certains aspects d’un événement, d’une période historique ou d’un mode de vie singulier, en s’appuyant sur des documents originaux. Les activités de recréation ne sont pas nouvelles. Au Moyen-Âge, les tournois reprenaient souvent des thèmes romains. Les Romains eux aussi ont reconstitué des batailles navales ou terrestres fameuses qu’ils montraient comme des spectacles dans le Colisée. Le concept d’histoire vivante décrit les tentatives de rapprocher l’histoire et la vie, ceci pour la jouissance du public ou des participants eux-mêmes ». RE–présentation a été proposée dans le cadre des Soirées Pré-fab/Prefab au FRAC Basse-Normandie, conçues comme une suite de l'exposition « La Soupe américaine »/« The American Soup » de Jordi Colomer. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Pièce de Roger Bernat |
22:30 | 21 |
RE-presentation: Numax (FR)La Chapelle
RE-présentation: Numax (FR)La Chapelle
Roger Bernat /FFF In 1979, following two and a half years of strikes, protests and self-governance, the workers at the Numax electrical appliance factory decided to make a film with Joaquim Jordà. Numax collected and listened to the debates from their meetings. RE–presentation: Numax proposes to re-enact them. Re-presentation is a theatrical device used to reconstruct situations. Wikipedia states: “Re-enactment is a method of approaching history that comprises the re-creation of certain aspects of an event, a historical period, or a unique way of life based on original documents. Re-enactment is not new. In the Middle Ages, tournaments were often given Roman themes. The Romans themselves re-enacted famous land or naval battles in the Coliseum. ‘Living history’ is an attempt to bring historic events to life for the public or participants to enjoy.” RE-presentation was proposed in the context of the Pré-fab/Prefab nights, and designed to follow on from the La Soupe américaine/The American Soup exhibition by Jordi Colomer in FRAC Base Normandie, Caen (France). Helena Febrés, management/production • febres@rogerbernat.info Author: Roger Bernat Compagnie: Roger Bernat/FFF En 1979, après deux ans et demi de grèves, de mobilisations et d’autogestion, les ouvriers de l’usine d’électroménager Numax décidèrent de tourner un film avec Joaquim Jordà. Dans ce film – Numax, présenta – sont collectées les discussions des assemblées. RE–présentation: Numax propose de les re-faire. RE-présentation est un dispositif théâtral de re-construction de situations. Wikipédia dit: « La recréation (ou reenactment en anglais) est une méthode d’approximation de l’histoire qui consiste à recréer certains aspects d’un événement, d’une période historique ou d’un mode de vie singulier, en s’appuyant sur des documents originaux. Les activités de recréation ne sont pas nouvelles. Au Moyen-Âge, les tournois reprenaient souvent des thèmes romains. Les Romains eux aussi ont reconstitué des batailles navales ou terrestres fameuses qu’ils montraient comme des spectacles dans le Colisée. Le concept d’histoire vivante décrit les tentatives de rapprocher l’histoire et la vie, ceci pour la jouissance du public ou des participants eux-mêmes ». RE–présentation a été proposée dans le cadre des Soirées Pré-fab/Prefab au FRAC Basse-Normandie, conçues comme une suite de l'exposition « La Soupe américaine »/« The American Soup » de Jordi Colomer. Helena Febrés, diffusion/production • febres@rogerbernat.info Pièce de Roger Bernat |
23:00 | 21 |
Argellies WorkshopMeeting Point: La Panacée
L'Atelier d'ArgelliesMeeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Come to meet Martine in her workshop to share a moment out of time. You will discover the story of a legendary music instrument and its production. Come in a small group to witness the rebirth of a savoir-faire disappeared on the XIX century, today in the service of the most important orchestras. Feel the transformation yourself! Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Venez rencontrer Martine, dans son atelier, pour partager un moment hors du temps, à la découverte de l’histoire d’un instrument de musique mythique, et de sa fabrication. Assistez en petit comité, loin du tumulte des rencontres, à la résurrection d’un savoir-faire pourtant disparu au 19e siècle, aujourd’hui au service des plus grands orchestres. Ressortez-en, vous aussi, transformés! |
23:00 | 21 |
Argellies WorkshopMeeting Point: La Panacée
L'Atelier d'ArgelliesMeeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Come to meet Martine in her workshop to share a moment out of time. You will discover the story of a legendary music instrument and its production. Come in a small group to witness the rebirth of a savoir-faire disappeared on the XIX century, today in the service of the most important orchestras. Feel the transformation yourself! Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Venez rencontrer Martine, dans son atelier, pour partager un moment hors du temps, à la découverte de l’histoire d’un instrument de musique mythique, et de sa fabrication. Assistez en petit comité, loin du tumulte des rencontres, à la résurrection d’un savoir-faire pourtant disparu au 19e siècle, aujourd’hui au service des plus grands orchestres. Ressortez-en, vous aussi, transformés! |
00:00 | 21 |
DeblozayDeparture: Parvis de la Cathédrale St Pierre
DeblozayDeparture: Parvis de la Cathédrale St Pierre
Deblozay could haunt the streets of Montpellier city centre on Wednesday, 16 and Tuesday, 17 April in the evening: where and when? Stay in tune... These spectres would announce a “large-framed” version of Deblozay Curated for Saturday, 19 April at night in the Parc Malbosc, during the ZAT. Production & distribution: Virginie Carter rarawoulib@gmail.com www.rarawoulib.org Curated in the first part of ZAT, City of Montpellier Des ombres dansent à un carrefour, on sent leur présence derrière un mur, on entend un rire au coin d’une rue. Lentement, elles s’emparent du béton, le rythme syncopé de leurs tambours et les mélodies enivrantes de leurs trompes nous transportent de l’autre côté... Deblozay (« désordre » en créole haïtien) est un cheminement à travers la mémoire de la ville et de ses habitants. Les guédés, mystérieux revenants, nous emmènent à la recherche des traces du passé. Objet théâtral hybride, Deblozay nous convie à la redécouverte des lieux oubliés de la ville, et rend visible ce qui, au quotidien, reste invisible, dans ce court intervalle de rêve. Au cours d’un voyage insolite vers une destination inconnue, Rara Woulib nous entraîne, à travers une épopée secrète, au cœur de la nuit. Dans la soirée, Deblozay va hanter les rues du centre ville de Montpellier... Ces apparitions nocturnes nous préparent à la grande nuit de la ZAT du samedi 19 avril de 20h à l’aube au parc Malbosc. Production Rara Woulib Coproduction Lieux publics • Atelier 231 • Projet META in situ Spectacle programmé en amorce de la ZAT, Ville de Montpellier |
00:00 | 21 |
DeblozayDeparture: Parvis de la Cathédrale St Pierre
DeblozayDeparture: Parvis de la Cathédrale St Pierre
Deblozay could haunt the streets of Montpellier city centre on Wednesday, 16 and Tuesday, 17 April in the evening: where and when? Stay in tune... These spectres would announce a “large-framed” version of Deblozay Curated for Saturday, 19 April at night in the Parc Malbosc, during the ZAT. Production & distribution: Virginie Carter rarawoulib@gmail.com www.rarawoulib.org Curated in the first part of ZAT, City of Montpellier Des ombres dansent à un carrefour, on sent leur présence derrière un mur, on entend un rire au coin d’une rue. Lentement, elles s’emparent du béton, le rythme syncopé de leurs tambours et les mélodies enivrantes de leurs trompes nous transportent de l’autre côté... Deblozay (« désordre » en créole haïtien) est un cheminement à travers la mémoire de la ville et de ses habitants. Les guédés, mystérieux revenants, nous emmènent à la recherche des traces du passé. Objet théâtral hybride, Deblozay nous convie à la redécouverte des lieux oubliés de la ville, et rend visible ce qui, au quotidien, reste invisible, dans ce court intervalle de rêve. Au cours d’un voyage insolite vers une destination inconnue, Rara Woulib nous entraîne, à travers une épopée secrète, au cœur de la nuit. Dans la soirée, Deblozay va hanter les rues du centre ville de Montpellier... Ces apparitions nocturnes nous préparent à la grande nuit de la ZAT du samedi 19 avril de 20h à l’aube au parc Malbosc. Production Rara Woulib Coproduction Lieux publics • Atelier 231 • Projet META in situ Spectacle programmé en amorce de la ZAT, Ville de Montpellier |
10:00 | 21 |
Breakfast on the asphaltMeeting Point: La Panacée
Petit déjeuner sur l'asphaltMeeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Work in progress “Around the block“/ Cie Asphalt Piloten (Berlin) Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. “Around the block“/ Cie Asphalt Piloten (Berlin) |
10:00 | 21 |
Breakfast on the asphaltMeeting Point: La Panacée
Petit déjeuner sur l'asphaltMeeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Work in progress “Around the block“/ Cie Asphalt Piloten (Berlin) Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. “Around the block“/ Cie Asphalt Piloten (Berlin) |
11:30 | 21 |
Wake Up Friche!Meeting Point: La Panacée
Wake Up Friche!Meeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Come to discover the Friche de Mimi, atypical place at the heart of Figuerolles neighbourhood. This place assembles local artists and support structures. Take advantage of their shared work with other similar places in Languedoc-Roussillon to expand your network. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Venez découvrir la Friche de Mimi, espace atypique au cœur du quartier de Figuerolles. Ce lieu regroupe artistes locaux et structures d’accompagnement. Profitez de leur travail de mise en partage avec des lieux similaires du Languedoc-Roussillon dans un cadre agréable et ouvert pour vous offrir à d’autres réseaux. |
11:30 | 21 |
À SètePoint of departure : Corum
À SètePoint of departure : Corum
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Discover the port city of Sète, at 20 minuts from Montpellier, and enjoy a relaxing morning with the Centre Régional d'Art Contemporain team. The program includes: exhibition visit, a walk through the port and the canals and gastronomic tastings. Find out what "les joutes nautiques" and “tielles” are, having the opportunity to savour some oysters and the local white wine. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Découvrez la ville portuaire de Sète, à 20 minutes de Montpellier, et profitez d'une matinée détendue en compagnie de l'équipe du Centre Régional d'Art Contemporain. Au programme, visite de l'exposition, balade sur le port et les canaux et dégustations gastronomiques. Apprenez ce que sont "les joutes nautiques" et les "tielles", en dégustant les huitres et le vin blanc du coin. |
11:30 | 21 |
À SètePoint of departure : Corum
À SètePoint of departure : Corum
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Discover the port city of Sète, at 20 minuts from Montpellier, and enjoy a relaxing morning with the Centre Régional d'Art Contemporain team. The program includes: exhibition visit, a walk through the port and the canals and gastronomic tastings. Find out what "les joutes nautiques" and “tielles” are, having the opportunity to savour some oysters and the local white wine. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Découvrez la ville portuaire de Sète, à 20 minutes de Montpellier, et profitez d'une matinée détendue en compagnie de l'équipe du Centre Régional d'Art Contemporain. Au programme, visite de l'exposition, balade sur le port et les canaux et dégustations gastronomiques. Apprenez ce que sont "les joutes nautiques" et les "tielles", en dégustant les huitres et le vin blanc du coin. |
11:30 | 21 |
Wake Up Friche!Meeting Point: La Panacée
Wake Up Friche!Meeting Point: La Panacée
These visits are organised on the program of working groups and performances with the purpose of discovering new places of the city or the backstage of a cultural place. Each visit is intended to be custom-made for IETM's members. Come to discover the Friche de Mimi, atypical place at the heart of Figuerolles neighbourhood. This place assembles local artists and support structures. Take advantage of their shared work with other similar places in Languedoc-Roussillon to expand your network. Ces visites sont organisées autour du programme des groupes de travail et des spectacles afin de faire découvrir aux membres un espace insolite de la ville ou encore les coulisses d'un lieu culturel. Chaque visite est pensée sur mesure pour les membres de l'IETM. Venez découvrir la Friche de Mimi, espace atypique au cœur du quartier de Figuerolles. Ce lieu regroupe artistes locaux et structures d’accompagnement. Profitez de leur travail de mise en partage avec des lieux similaires du Languedoc-Roussillon dans un cadre agréable et ouvert pour vous offrir à d’autres réseaux. |
16:00 | 21 |
TripleLa Panacée
TripleLa Panacée
Cie LOLdanse Triple is a reworking of an older piece, Marine, which has followed us around for a number of years. This more complex form reveals more of the project’s internal construction, whose choreographic part is based on random choices within a given set of strictly defined possibilities. These possibilities are too numerous to fit within the length of the piece, so the entire set of elements is never fully used in a single performance. For this reworking, we decided to put forth – or allow to be sensed – THREE simultaneous executions of a single proposal, which were by nature different, yet fundamentally identical and linked to each other. The three dancers are positioned independently of each other in three spaces, which, although they can be seen at the same time, force spectators to readjust their vision so that not everything can be seen at the same time. The music – a long electronic build-up of 666 “pure” sounds – is “almost” the same for the three spaces, aside from a small time lag varying over a span of a few tenths of a second, creating the effect of the three spaces continually chasing each other, doubling up, and responding to each other. Damien Valette • distribution/production valette.d@gmail.com Choreographic composition : Myriam Gourfink Loldanse is supported by the Ministry of Culture and Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/Loldanse in residency at Forum, subsidised theatre of the Blanc Mesnil supported by Département de la Seine-Saint-Denis Cie LOLdanse Triple est une réactualisation d'un travail plus ancien, Marine, que nous avons grand plaisir à revisiter. Pour cette forme, plus complexe, mais dévoilant plus de la construction interne du projet (qui est basé, pour sa partie chorégraphique, sur des choix aléatoires dans un ensemble de possibles strictement notés, dont la somme dépasse largement la durée de la pièce, donc dont tous les éléments ne sont jamais dansés lors d'une représentation) le choix a été fait de donner à voir – ou percevoir – TROIS réalisations simultanées de la même proposition : forcément différentes, mais fondamentalement imbriquées et identiques – comme trois chemins indépendants choisis sur une carte commune. Les trois danseuses sont placées indépendamment, dans trois espaces que l'on peut peut-être voir en même temps mais aussi, mieux, qui obligent à un déplacement et ne permettent pas de tout voir dans le même regard ; et c'est le déplacement et l'imagination du spectateur qui recréent l'ensemble, à partir des bribes perçues. Chaque danseuse est au centre d'un cercle de 2 m de diamètre, délimité par deux haut-parleurs, n'imposant pas une vision unique ni frontale de son univers. La musique – une longue montée électronique formée de 666 sons "purs" – est "presque" la même pour les trois espaces, excepté un léger jeu de décalages temporels variant en continu sur quelques centaines de millisecondes, faisant ainsi les trois espaces se courir après, se doubler et se répondre en permanence. La durée de la musique est de 28 minutes et 58 secondes, la danse peut être légèrement plus longue ou plus courte de quelques 20 secondes. Damien Valette, diffusion, production • valette.d@gmail.com Ecriture de la partition chorégraphique : Myriam Gourfink L’association Loldanse est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/association Loldanse est en résidence au Forum, Scène conventionnée du Blanc-Mesnil avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis |
16:00 | 21 |
TripleLa Panacée
TripleLa Panacée
Cie LOLdanse Triple is a reworking of an older piece, Marine, which has followed us around for a number of years. This more complex form reveals more of the project’s internal construction, whose choreographic part is based on random choices within a given set of strictly defined possibilities. These possibilities are too numerous to fit within the length of the piece, so the entire set of elements is never fully used in a single performance. For this reworking, we decided to put forth – or allow to be sensed – THREE simultaneous executions of a single proposal, which were by nature different, yet fundamentally identical and linked to each other. The three dancers are positioned independently of each other in three spaces, which, although they can be seen at the same time, force spectators to readjust their vision so that not everything can be seen at the same time. The music – a long electronic build-up of 666 “pure” sounds – is “almost” the same for the three spaces, aside from a small time lag varying over a span of a few tenths of a second, creating the effect of the three spaces continually chasing each other, doubling up, and responding to each other. Damien Valette • distribution/production valette.d@gmail.com Choreographic composition : Myriam Gourfink Loldanse is supported by the Ministry of Culture and Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/Loldanse in residency at Forum, subsidised theatre of the Blanc Mesnil supported by Département de la Seine-Saint-Denis Cie LOLdanse Triple est une réactualisation d'un travail plus ancien, Marine, que nous avons grand plaisir à revisiter. Pour cette forme, plus complexe, mais dévoilant plus de la construction interne du projet (qui est basé, pour sa partie chorégraphique, sur des choix aléatoires dans un ensemble de possibles strictement notés, dont la somme dépasse largement la durée de la pièce, donc dont tous les éléments ne sont jamais dansés lors d'une représentation) le choix a été fait de donner à voir – ou percevoir – TROIS réalisations simultanées de la même proposition : forcément différentes, mais fondamentalement imbriquées et identiques – comme trois chemins indépendants choisis sur une carte commune. Les trois danseuses sont placées indépendamment, dans trois espaces que l'on peut peut-être voir en même temps mais aussi, mieux, qui obligent à un déplacement et ne permettent pas de tout voir dans le même regard ; et c'est le déplacement et l'imagination du spectateur qui recréent l'ensemble, à partir des bribes perçues. Chaque danseuse est au centre d'un cercle de 2 m de diamètre, délimité par deux haut-parleurs, n'imposant pas une vision unique ni frontale de son univers. La musique – une longue montée électronique formée de 666 sons "purs" – est "presque" la même pour les trois espaces, excepté un léger jeu de décalages temporels variant en continu sur quelques centaines de millisecondes, faisant ainsi les trois espaces se courir après, se doubler et se répondre en permanence. La durée de la musique est de 28 minutes et 58 secondes, la danse peut être légèrement plus longue ou plus courte de quelques 20 secondes. Damien Valette, diffusion, production • valette.d@gmail.com Ecriture de la partition chorégraphique : Myriam Gourfink L’association Loldanse est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France. Myriam Gourfink/association Loldanse est en résidence au Forum, Scène conventionnée du Blanc-Mesnil avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis |
18:30 | 21 |
American Rock Trip (EN)La Panacée - Auditorium
American Rock Trip (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. American rock trip - Stéphane Malfettes From Johnny Cash’s house to Britney Spears’ bedroom by way of Jerry Lee Lewis’ own personal hell, the bunker belonging to the world’s biggest Elvis Presley fan, or the “rock ’n’ roll Louvre” in Cleveland… 12,000 kilometres (7,500 miles) of the USA were crisscrossed, pedal to the metal, to visit the museums and other eccentricities Americans devote to the different forms of music they have invented (rock, blues, country music). Visiting this new kind of heritage site allows for a direct and irreplaceable confrontation with the electric guitars and cowboy boots that Americans have used to build their national history. The New World may not have a Château de Versailles – but they do have Prince and BB King! From this exhaustive journey, Stéphane Malfettes wrote the book American Rock Trip (published by Zones Sensibles), which he has transformed into a “stand-up conference” with a cast of colourful characters, loads of photos, videos, and music clips galore. Better than a meeting with a PowerPoint presentation or a slideshow party with pals, this is rock ‘n’ roll like you’ve never seen, read or heard it before! “The structure and rhythm of American Rock Trip is goddamn exciting. Even though you feel like Stéphane Malfettes had a “blast” tearing up the pavement, the pleasure is all ours.” (Rolling Stones, April 2012). Stéphane Malfettes is artistic director of performing arts at the Musée du Louvre, author (Art Press, Mouvement, special editions for Les Inrockuptibles) and co-founder of SuperTalk. ©Visuals: Cédric Scandella SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. American Rock Trip - Stéphane Malfettes De la maison de Johnny Cash à la chambre à coucher de Britney Spears en passant par l’enfer de Jerry Lee Lewis, le bunker du plus grand fan au monde d’Elvis Presley ou le « Louvre du rock’n’roll » à Cleveland… 12 000 kilomètres parcourus pied au plancher à travers les Etats-Unis pour visiter les musées et autres singularités que les Américains consacrent aux musiques qu’ils ont inventées (rock, blues, country music). Visiter ces sites patrimoniaux d’un nouveau genre permet une confrontation directe et irremplaçable avec la façon dont les Américains tentent de construire leur histoire nationale avec des guitares électriques et des bottes de cowboy. Au Nouveau Monde, il n’y a en effet pas de Chapelle Sixtine mais il y a Bruce Springsteen ! De ce périple haletant, Stéphane Malfettes a tiré un livre, American Rock Trip (éd. Zones Sensibles), qu’il décline en « stand-up conférence » avec un casting de personnages haut en couleur, des photos et des vidéos en pagaille, des extraits musicaux en veux-tu en voilà. Mieux qu’une réunion PowerPoint ou qu’une soirée diapos entre amis : le rock tel que vous ne l’avez jamais vu, lu, entendu ! « La trame de cet American Rock Trip est fichtrement excitante. Si on sent que Stéphane Malfettes s’est "éclaté" à bouffer du bitume, tout le plaisir est pour nous. » (Rolling Stones, avril 2012). Stéphane Malfettes est programmateur pour le spectacle vivant au Musée du Louvre, auteur (Art Press, Mouvement, hors-séries des Inrockuptibles) et cofondateur de SuperTalk. ©Visuels : Cédric Scandella |
18:30 | 21 |
American Rock Trip (EN)La Panacée - Auditorium
American Rock Trip (EN)La Panacée - Auditorium
SuperTalk is a “conference company” – just like there are “publishing companies” or “record companies.” Its mission is to spread unconventional wisdom by giving a soapbox to passionate enthusiasts instead of to mandarins. In stand-up mode, with a double helping of sound and image, SuperTalk conferences embrace culture in the broadest sense, from The Sopranos to burger and fries shacks. American rock trip - Stéphane Malfettes From Johnny Cash’s house to Britney Spears’ bedroom by way of Jerry Lee Lewis’ own personal hell, the bunker belonging to the world’s biggest Elvis Presley fan, or the “rock ’n’ roll Louvre” in Cleveland… 12,000 kilometres (7,500 miles) of the USA were crisscrossed, pedal to the metal, to visit the museums and other eccentricities Americans devote to the different forms of music they have invented (rock, blues, country music). Visiting this new kind of heritage site allows for a direct and irreplaceable confrontation with the electric guitars and cowboy boots that Americans have used to build their national history. The New World may not have a Château de Versailles – but they do have Prince and BB King! From this exhaustive journey, Stéphane Malfettes wrote the book American Rock Trip (published by Zones Sensibles), which he has transformed into a “stand-up conference” with a cast of colourful characters, loads of photos, videos, and music clips galore. Better than a meeting with a PowerPoint presentation or a slideshow party with pals, this is rock ‘n’ roll like you’ve never seen, read or heard it before! “The structure and rhythm of American Rock Trip is goddamn exciting. Even though you feel like Stéphane Malfettes had a “blast” tearing up the pavement, the pleasure is all ours.” (Rolling Stones, April 2012). Stéphane Malfettes is artistic director of performing arts at the Musée du Louvre, author (Art Press, Mouvement, special editions for Les Inrockuptibles) and co-founder of SuperTalk. ©Visuals: Cédric Scandella SuperTalk est une maison de conférences – comme il y a des « maisons d’édition » ou des « maisons de disques ». Sa vocation est de faire partager des savoirs singuliers en donnant la parole à des passionnés plutôt qu’à des mandarins. Menées en mode stand-up avec images et son en double ration, les conférences SuperTalk embrassent la culture dans ses grandes largeurs, des Soprano aux baraques à frites. American Rock Trip - Stéphane Malfettes De la maison de Johnny Cash à la chambre à coucher de Britney Spears en passant par l’enfer de Jerry Lee Lewis, le bunker du plus grand fan au monde d’Elvis Presley ou le « Louvre du rock’n’roll » à Cleveland… 12 000 kilomètres parcourus pied au plancher à travers les Etats-Unis pour visiter les musées et autres singularités que les Américains consacrent aux musiques qu’ils ont inventées (rock, blues, country music). Visiter ces sites patrimoniaux d’un nouveau genre permet une confrontation directe et irremplaçable avec la façon dont les Américains tentent de construire leur histoire nationale avec des guitares électriques et des bottes de cowboy. Au Nouveau Monde, il n’y a en effet pas de Chapelle Sixtine mais il y a Bruce Springsteen ! De ce périple haletant, Stéphane Malfettes a tiré un livre, American Rock Trip (éd. Zones Sensibles), qu’il décline en « stand-up conférence » avec un casting de personnages haut en couleur, des photos et des vidéos en pagaille, des extraits musicaux en veux-tu en voilà. Mieux qu’une réunion PowerPoint ou qu’une soirée diapos entre amis : le rock tel que vous ne l’avez jamais vu, lu, entendu ! « La trame de cet American Rock Trip est fichtrement excitante. Si on sent que Stéphane Malfettes s’est "éclaté" à bouffer du bitume, tout le plaisir est pour nous. » (Rolling Stones, avril 2012). Stéphane Malfettes est programmateur pour le spectacle vivant au Musée du Louvre, auteur (Art Press, Mouvement, hors-séries des Inrockuptibles) et cofondateur de SuperTalk. ©Visuels : Cédric Scandella |
21:00 | 21 |
Dance #2CCN Studio Bagouet, Agora Cité Internationale de la Danse
Dance #2CCN Studio Bagouet, Agora Cité Internationale de la Danse
Eszter Salamon and Christine de Smedt Dance #2 is the sequel of Dance #1/Driftworks, the duet formed in 2007 by Salamon and Smedt (presented at the CCN Montpellier Languedoc-Roussillon in 2008). It looks in greater depth at some aspects explored in the earlier duet, such as the relationship between movement and voice. Through several pieces of various running times, Dance #2 attempts to develop the potential dialogues between two artists mixing words and physical posture to create a new hybrid language. This game could be compared with the invention of a language through collective learning, poetic by-product of any relationship both combining art and love. The audience shares the performers’ space and spreads their body in a horizontal dimension. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *In the context of ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, for the season 2013-2014 of the Montpellier Danse, with the support of Onda and Réseau en scène Languedoc-Roussillon Eszter Salamon et Christine de Smedt Dance #2 est la suite de Dance #1/Driftworks, duo formé en 2007 par Salamon et Smedt (présenté en 2008 au CCN Montpellier Languedoc-Roussillon). Il approfondit certains aspects explorés dans le duo précédent : la relation entre le mouvement et la voix. À travers plusieurs pièces de différentes durées, Dance #2 essaie de développer les possibilités du dialogue entre deux artistes mélangeant mots et attitudes corporelles pour créer un nouveau langage hybride. On pourrait comparer ce jeu à l’invention par l’apprentissage collectif d’une langue, dérivé poétique de toute relation à la fois artistique et amoureuse. Les spectateurs cohabitent dans l’espace des interprètes et égrènent leurs corps dans une dimension horizontale. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *Dans le cadre de ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, pour la saison 2013-2014 de Montpellier Danse, avec le soutien de l’Onda et de Réseau en scène Languedoc-Roussillon |
21:00 | 21 |
Please, Continue (Hamlet)Palais de Justice/Festival Hybrides
Please, Continue (Hamlet)Palais de Justice/Festival Hybrides
Yan Duyvendak and Roger Bernat What’s your verdict? Does a court’s decision depend on the judge’s mood? On the lawyers’ performance? Who is on the jury? How does your personal conviction take shape in the theatre of the courtroom? Real-life legal professionals are recruited locally to play for real in Hamlet’s mock trial. Shakespeare’s hero, revisited, stands accused of murdering Polonius. Eye-witness statements, pleas and counterpleas, expert witnesses – Please, Continue (Hamlet) brings the spectacle of the legal system to the stage to create a courtroom drama that explores the eternally elusive question of what is truth. Nataly Sugnaux Hernandez, production/management • nataly.sugnaux@duyvendak.com Production: Dreams Come True, Geneva
Concept: Yan Duyvendak and Roger Bernat *Show for the francophone audience scheduled as part of the Hybrides Festival Yan Duyvendak et Roger Bernat A vous de juger. La décision de justice dépend-elle de l’humeur du juge ? Du profil des jurés ? De la performance des avocats ? Comment se forge l’intime conviction dans le rituel théâtralisé du procès ? A chaque représentation, le personnel judiciaire recruté sur le lieu du spectacle joue pour de vrai le faux procès d’Hamlet, le héros de Shakespeare à peine revisité, accusé du meurtre de Polonius. Témoignage, expertise, plaidoirie, Please, Continue (Hamlet) met en scène le drôle de spectacle de la justice et le caractère éternellement insaisissable de la vérité. Nataly Sugnaux Hernandez, production/management • nataly.sugnaux@duyvendak.com Production : Dreams Come True, Genève
Conception : Yan Duyvendak et Roger Bernat *Spectacle destiné aux Francophones, programmé dans le cadre du Festival Hybrides |
21:00 | 21 |
Please, Continue (Hamlet)Palais de Justice/Festival Hybrides
Please, Continue (Hamlet)Palais de Justice/Festival Hybrides
Yan Duyvendak and Roger Bernat What’s your verdict? Does a court’s decision depend on the judge’s mood? On the lawyers’ performance? Who is on the jury? How does your personal conviction take shape in the theatre of the courtroom? Real-life legal professionals are recruited locally to play for real in Hamlet’s mock trial. Shakespeare’s hero, revisited, stands accused of murdering Polonius. Eye-witness statements, pleas and counterpleas, expert witnesses – Please, Continue (Hamlet) brings the spectacle of the legal system to the stage to create a courtroom drama that explores the eternally elusive question of what is truth. Nataly Sugnaux Hernandez, production/management • nataly.sugnaux@duyvendak.com Production: Dreams Come True, Geneva
Concept: Yan Duyvendak and Roger Bernat *Show for the francophone audience scheduled as part of the Hybrides Festival Yan Duyvendak et Roger Bernat A vous de juger. La décision de justice dépend-elle de l’humeur du juge ? Du profil des jurés ? De la performance des avocats ? Comment se forge l’intime conviction dans le rituel théâtralisé du procès ? A chaque représentation, le personnel judiciaire recruté sur le lieu du spectacle joue pour de vrai le faux procès d’Hamlet, le héros de Shakespeare à peine revisité, accusé du meurtre de Polonius. Témoignage, expertise, plaidoirie, Please, Continue (Hamlet) met en scène le drôle de spectacle de la justice et le caractère éternellement insaisissable de la vérité. Nataly Sugnaux Hernandez, production/management • nataly.sugnaux@duyvendak.com Production : Dreams Come True, Genève
Conception : Yan Duyvendak et Roger Bernat *Spectacle destiné aux Francophones, programmé dans le cadre du Festival Hybrides |
21:00 | 21 |
Dance #2CCN Studio Bagouet, Agora Cité Internationale de la Danse
Dance #2CCN Studio Bagouet, Agora Cité Internationale de la Danse
Eszter Salamon and Christine de Smedt Dance #2 is the sequel of Dance #1/Driftworks, the duet formed in 2007 by Salamon and Smedt (presented at the CCN Montpellier Languedoc-Roussillon in 2008). It looks in greater depth at some aspects explored in the earlier duet, such as the relationship between movement and voice. Through several pieces of various running times, Dance #2 attempts to develop the potential dialogues between two artists mixing words and physical posture to create a new hybrid language. This game could be compared with the invention of a language through collective learning, poetic by-product of any relationship both combining art and love. The audience shares the performers’ space and spreads their body in a horizontal dimension. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *In the context of ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, for the season 2013-2014 of the Montpellier Danse, with the support of Onda and Réseau en scène Languedoc-Roussillon Eszter Salamon et Christine de Smedt Dance #2 est la suite de Dance #1/Driftworks, duo formé en 2007 par Salamon et Smedt (présenté en 2008 au CCN Montpellier Languedoc-Roussillon). Il approfondit certains aspects explorés dans le duo précédent : la relation entre le mouvement et la voix. À travers plusieurs pièces de différentes durées, Dance #2 essaie de développer les possibilités du dialogue entre deux artistes mélangeant mots et attitudes corporelles pour créer un nouveau langage hybride. On pourrait comparer ce jeu à l’invention par l’apprentissage collectif d’une langue, dérivé poétique de toute relation à la fois artistique et amoureuse. Les spectateurs cohabitent dans l’espace des interprètes et égrènent leurs corps dans une dimension horizontale. Alexandra Wellensiek • production@eszter-salamon.com *Dans le cadre de ] domaines [ production CCN Montpellier Languedoc-Roussillon, pour la saison 2013-2014 de Montpellier Danse, avec le soutien de l’Onda et de Réseau en scène Languedoc-Roussillon |
22:30 | 21 |
Adishatz/AdieuThéâtre La Vignette
Adishatz/AdieuThéâtre La Vignette
Adishatz is a self-portrait shaped by a blend of sung material and imitation. Drawing on the style of autofiction, a sort of confessional documentary that highlights a character’s wanderings between real life and fantasy/dream life, I intend to write this show based on songs and conversations that, much like private notes, evoke roots and family. Adishatz hinges on the technique of imitation that is often used to entertain. I warp this technique to the point of disorder, much like a blank tape upon which I record bits of the world that surrounds and constitutes me. The ambivalent character I’m interpreting wavers between gracefulness and gruffness. The use of transvestism allows me to delve into the notion of solitude, while conveying delicacy and sensitivity. Transvestism is common to both men and women, and can be used for both genders. It emits a sense of strangeness, of uneasiness, that enables many different kinds of reversal and alteration. Solitude is perceptible: sad and melancholic but never tragic. I wish to work on the nostalgia of things, in order to summon pivotal memories of identity from childhood or adolescence; the nostalgia for yesterday’s hits that marked my background and continue to resound today… I want to rekindle memories, and to stimulate the audience’s memory. The show thereby takes on a cathartic dimension, as the character’s identity is gradually revealed, but will probably never be clear: ambivalent, complex, funny or sad, man or woman, powerful or fragile, somewhere between real life and fantasy. Bureau Cassiopée Concept and performance: Jonathan Capdevielle Adishatz dresse un autoportrait fragile des plus particuliers. Convoquant le registre de l’autofiction, sorte de documentaire sous forme de confession qui met en évidence l’itinéraire d’un personnage entre vie réelle et vie fantasmée ou rêvée, cette pièce est écrite à partir de chansons, de conversations, qui évoquent comme des carnets intimes, les racines ou la famille. Adishatz est construit à partir de la technique de l’imitation souvent utilisée pour divertir. Je la détourne avec une force autrement plus trouble. Comme une cassette vierge sur laquelle j’enregistrerais le monde qui m’entoure et me constitue. Ce personnage ambivalent que j'interprète vacille entre grâce et grossièreté. Le recours au travestissement permet d’accentuer l’idée d’une certaine solitude, tout en évoquant quelque chose de délicat et sensible. Le travestissement est commun à l’homme et à la femme et peut être utilisé pour les deux sexes. Une étrangeté, un trouble qui permettent tous les retournements ou détournements. La solitude est perceptible : elle est triste et mélancolique mais jamais tragique. Je souhaite travailler sur la nostalgie des choses, pour convoquer cette mémoire fondatrice de l’identité : l’enfance ou l’adolescence, nostalgie de ces tubes d’hier qui ont marqué mon vécu et qui résonnent encore aujourd’hui... Je désire réactiver les souvenirs, stimuler la mémoire du public. La pièce prend ici une dimension cathartique où l’identité du personnage se révèle au fur et à mesure mais ne sera probablement jamais claire : ambivalente, complexe, drôle ou triste, homme ou femme, puissante ou fragile, entre vie réelle et vie fantasmée. Bureau Cassiopée Conception et interprétation : Jonathan Capdevielle |
22:30 | 21 |
A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée - Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin Sceduled by the Centre Dramatique National of Languedoc-Roussillon Montpellier La Grande Mêlée - D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin Programmé par le Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier |
22:30 | 21 |
Adishatz/AdieuThéâtre La Vignette
Adishatz/AdieuThéâtre La Vignette
Adishatz is a self-portrait shaped by a blend of sung material and imitation. Drawing on the style of autofiction, a sort of confessional documentary that highlights a character’s wanderings between real life and fantasy/dream life, I intend to write this show based on songs and conversations that, much like private notes, evoke roots and family. Adishatz hinges on the technique of imitation that is often used to entertain. I warp this technique to the point of disorder, much like a blank tape upon which I record bits of the world that surrounds and constitutes me. The ambivalent character I’m interpreting wavers between gracefulness and gruffness. The use of transvestism allows me to delve into the notion of solitude, while conveying delicacy and sensitivity. Transvestism is common to both men and women, and can be used for both genders. It emits a sense of strangeness, of uneasiness, that enables many different kinds of reversal and alteration. Solitude is perceptible: sad and melancholic but never tragic. I wish to work on the nostalgia of things, in order to summon pivotal memories of identity from childhood or adolescence; the nostalgia for yesterday’s hits that marked my background and continue to resound today… I want to rekindle memories, and to stimulate the audience’s memory. The show thereby takes on a cathartic dimension, as the character’s identity is gradually revealed, but will probably never be clear: ambivalent, complex, funny or sad, man or woman, powerful or fragile, somewhere between real life and fantasy. Bureau Cassiopée Concept and performance: Jonathan Capdevielle Adishatz dresse un autoportrait fragile des plus particuliers. Convoquant le registre de l’autofiction, sorte de documentaire sous forme de confession qui met en évidence l’itinéraire d’un personnage entre vie réelle et vie fantasmée ou rêvée, cette pièce est écrite à partir de chansons, de conversations, qui évoquent comme des carnets intimes, les racines ou la famille. Adishatz est construit à partir de la technique de l’imitation souvent utilisée pour divertir. Je la détourne avec une force autrement plus trouble. Comme une cassette vierge sur laquelle j’enregistrerais le monde qui m’entoure et me constitue. Ce personnage ambivalent que j'interprète vacille entre grâce et grossièreté. Le recours au travestissement permet d’accentuer l’idée d’une certaine solitude, tout en évoquant quelque chose de délicat et sensible. Le travestissement est commun à l’homme et à la femme et peut être utilisé pour les deux sexes. Une étrangeté, un trouble qui permettent tous les retournements ou détournements. La solitude est perceptible : elle est triste et mélancolique mais jamais tragique. Je souhaite travailler sur la nostalgie des choses, pour convoquer cette mémoire fondatrice de l’identité : l’enfance ou l’adolescence, nostalgie de ces tubes d’hier qui ont marqué mon vécu et qui résonnent encore aujourd’hui... Je désire réactiver les souvenirs, stimuler la mémoire du public. La pièce prend ici une dimension cathartique où l’identité du personnage se révèle au fur et à mesure mais ne sera probablement jamais claire : ambivalente, complexe, drôle ou triste, homme ou femme, puissante ou fragile, entre vie réelle et vie fantasmée. Bureau Cassiopée Conception et interprétation : Jonathan Capdevielle |
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A Man AsleepLa Bulle Bleue
Un homme qui dortLa Bulle Bleue
La Grande Mêlée - Adapted from the book by Georges Perec In A Man Asleep, a twenty-five-year-old student embarks upon a disturbing and exhausting pursuit of indifference, following his experience in non-existence with relentless logic. One morning, he is suddenly overcome by the pointlessness of it all. He decides to withdraw from life and to go back to sleep even though he is supposed to go and take an exam. From then on, he practically sleepwalks through life, silently performing the routines of self-effacement. In the end, this exploration of indifference will not lead the young man to self-annihilation. Instead, he will wake up and, thanks to a saving storm, recover his desire and strength to live. A Man Asleep is written like an inner song, a powerful and poetic litany. A real celebration of life which could paradoxically be considered an ambiguous farewell, as this young man who, after having tried to withdraw from life, manages to find his own way. In a steel structure with a mobile stage design, like a chambre de bonne, in a double frontal plane, the cellist Vincent Courtois and the dancer Nicolas Fayol tell of the poignant contradiction between feelings of being and not being in the world. Emmanuelle Hertmann, production et distribution• contact@lagrandemelee.com Co-production: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents - Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, concept and staging: Bruno Geslin Sceduled by the Centre Dramatique National of Languedoc-Roussillon Montpellier La Grande Mêlée - D’après l’œuvre de Georges Perec Un homme qui dort raconte le détachement progressif d'un jeune homme de vingt-cinq ans vis-à-vis du monde. Un matin alors qu'il doit se rendre à un examen de sociologie, il renonce à se lever. De ce geste sans importance ou plutôt de "cette absence de geste" va découler un lent cheminement vers l'indifférence. C'est, entre sa minuscule chambre de bonne et ses promenades somnambuliques à travers une ville qui ne le reconnaît plus, que va se jouer l'expérience troublante de cette vie suspendue, "de cette vie au point mort". Finalement, ce repli ne mènera pourtant pas le jeune homme jusqu'à la disparition et il retrouvera, sous l'effet d'une averse salvatrice, le goût et la force de vivre. Un homme qui dort est écrit comme un chant intérieur, une litanie puissante et poétique. Véritable célébration de la vie dans ce qui pourrait paradoxalement ressembler à un adieu, ambigu, à l'image de cet homme qui après avoir essayé de s'extraire du monde, finira par "reprendre douloureusement pied sur la terre des vivants". Dans une structure à la scénographie mobile, une chambre de bonne, dans un rapport bifrontal accueillant une centaine de spectateurs, le violoncelliste Vincent Courtois et le danseur Nicolas Fayol racontent contradiction poignante entre les sentiments d’être et de ne pas être dans le monde. Emmanuelle Hertmann, production et diffusion • contact@lagrandemelee.com Coproductions: Théâtre de Nîmes • Théâtre des 13 vents, Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier • Scènes Croisées de Lozère. Adaptation, conception et mise en scène: Bruno Geslin Programmé par le Centre dramatique national Languedoc-Roussillon Montpellier |
23:00 | 21 |
LambdaChai du Terral
LambdaChai du Terral
Collective writing Five anonymous thirty-year-olds. They share some kind of solitude and the urge to meet and know people. They are free thought idle spirits, whose lives and paths cross each other as in the streets, without a purpose or a promise. But something essential is at stake for each one of them every time they meet. Consciously or not, they all feel the world oversteps them. Too big, too huge, too complex to let them forge their own character. Enhanced with various literary forms (private diaries, novels, interviews...), the writing of this « tale of sick normality » constantly shifts from realism to dreamlike fantasizing. If the characters and the situations exposed here set foot on the concrete world and can easily be acknowledged as such, they all distil a partial mystery in a tragic scope. A naked stage, straightforward and pure, wherein video seems pervasive, ensures the spectators are transported by a flux of sensations and absorbed reveries which endlessly question the way we see the world, sending us back to our own intimacy. Moebius was founded in 2008 by a group of young actors who graduated from Montpellier Conservatoire. Lambda is their third creation. Leïla Cossé, distribution/production • moebius.diffusion@gmail.com Production: Compagnie Moebius. Stage Director: Jonathan Moussalli Scheduled in the context of the Festival Hybrides Création collective Cinq trentenaires tirés de la masse des anonymes. En commun une certaine solitude et le besoin du contact, de l’expérience de l’autre. Electrons libres et désœuvrés, leurs vies se croisent comme on se croise dans la rue, sans promesse. Mais dans l’intervalle fugitif de ces rencontres quelque chose d’essentiel se joue pour chacun d’eux. Qu’ils en soient conscients ou non, tous vivent dans le sentiment d’un monde qui les dépasse, trop vaste, trop multiple pour s’y forger une identité solide. Enrichie de matériaux dramaturgiques divers (carnets intimes, romans, interviews…), l’écriture de ce « récit de la normalité malade » oscille entre réalisme et onirisme. Si les personnages et les situations proposés sont immédiatement reconnaissables et prennent appui sur le réel, tous contiennent une part de mystère et une dimension tragique. Dans un espace scénique très épuré où la vidéo est omniprésente, le spectateur est pris dans un flux de sensations et de rêveries qui l’interpellent sans cesse sur sa façon de regarder le monde et le renvoient à sa propre intimité. Lambda est la troisième création de la compagnie Moebius, collectif de comédiens issus de l’École nationale supérieure d’art dramatique de Montpellier en 2008. Leïla Cossé, diffusion/production • moebius.diffusion@gmail.com Production: Compagnie Moebius Mise en scène : Jonathan Moussalli Programmé dans le cadre du Festival Hybrides
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23:00 | 21 |
LambdaChai du Terral
LambdaChai du Terral
Collective writing Five anonymous thirty-year-olds. They share some kind of solitude and the urge to meet and know people. They are free thought idle spirits, whose lives and paths cross each other as in the streets, without a purpose or a promise. But something essential is at stake for each one of them every time they meet. Consciously or not, they all feel the world oversteps them. Too big, too huge, too complex to let them forge their own character. Enhanced with various literary forms (private diaries, novels, interviews...), the writing of this « tale of sick normality » constantly shifts from realism to dreamlike fantasizing. If the characters and the situations exposed here set foot on the concrete world and can easily be acknowledged as such, they all distil a partial mystery in a tragic scope. A naked stage, straightforward and pure, wherein video seems pervasive, ensures the spectators are transported by a flux of sensations and absorbed reveries which endlessly question the way we see the world, sending us back to our own intimacy. Moebius was founded in 2008 by a group of young actors who graduated from Montpellier Conservatoire. Lambda is their third creation. Leïla Cossé, distribution/production • moebius.diffusion@gmail.com Production: Compagnie Moebius. Stage Director: Jonathan Moussalli Scheduled in the context of the Festival Hybrides Création collective Cinq trentenaires tirés de la masse des anonymes. En commun une certaine solitude et le besoin du contact, de l’expérience de l’autre. Electrons libres et désœuvrés, leurs vies se croisent comme on se croise dans la rue, sans promesse. Mais dans l’intervalle fugitif de ces rencontres quelque chose d’essentiel se joue pour chacun d’eux. Qu’ils en soient conscients ou non, tous vivent dans le sentiment d’un monde qui les dépasse, trop vaste, trop multiple pour s’y forger une identité solide. Enrichie de matériaux dramaturgiques divers (carnets intimes, romans, interviews…), l’écriture de ce « récit de la normalité malade » oscille entre réalisme et onirisme. Si les personnages et les situations proposés sont immédiatement reconnaissables et prennent appui sur le réel, tous contiennent une part de mystère et une dimension tragique. Dans un espace scénique très épuré où la vidéo est omniprésente, le spectateur est pris dans un flux de sensations et de rêveries qui l’interpellent sans cesse sur sa façon de regarder le monde et le renvoient à sa propre intimité. Lambda est la troisième création de la compagnie Moebius, collectif de comédiens issus de l’École nationale supérieure d’art dramatique de Montpellier en 2008. Leïla Cossé, diffusion/production • moebius.diffusion@gmail.com Production: Compagnie Moebius Mise en scène : Jonathan Moussalli Programmé dans le cadre du Festival Hybrides
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23:00 | 21 |
WarmThéâtre des 13 vents
WarmThéâtre des 13 vents
Warm is an acrobatic performance done by Edward Aleman and Wilmer Marquez. For fifteen years, they have been developping a duo made of portés, hands to hands and balances. Warm represents for them the occasion to put their acrobatic discipline to the test of heat and light. During the 40 minuts of performance, the spotlights, installed closely face to face, will be switched on, producing an unbearable light and an oppressive heat. This luminous structure is extended by a wall made of mirrors.
Two men bodies in contact, in the heat, between strength and slackening, stretching, balance, seminudity, perspiration, hangings. A physical path from warmimg-up to exhaustion. Skin to skin acrobats' enemy: perspiration. The more the heat raises, the more they sweat. Their bodies are beaded with sweat, which makes a porté impossible to do. After 10 minuts, the temperature reaches 45ºC. The clothes are soaked. The weaken bodies slip, fall down, try to hold despite the heavy heat. The actress Séverine Ragaigne is with them. She performs a monologue, a sonorous poem signed by Ronan Chéneau.
A declaration of love, a young woman's dream, a sexual fantasy. The heat becomes a main character. It appeals to the presence of the two acrobats, it pushes to situation to the limit to satisfy its desire of body, skin, sweat and pain.
Philippe Chamaux, producer, administrator • les-independances@orange.fr
Production: Rictus Company
Co-production: Les Subsistances, Lyon • L’Hippodrome, Scène Nationale de Douai
Acknowledgements: La Brèche, Pôle national des arts du cirque de Basse-Normandie
Support: Conseil régional de Basse-Normandie • Conseil général du Calvados (ODACC) • City of Caen
The Rictus Company receives funds from the Ministry of Culture and Communication.
David Bobee is an asociated artist at the Théâtre National de Chaillot and at the Hippodrome, Scène nationale de Douai. He is an artistic associate at the Gogol Theater in Moscow.
Installation and direction: David Bobee
Text: Ronan Chéneau
With: Edward Aleman, Wilmer Marquez (acrobats) and Séverine Ragaigne (actress)
Lights and installation: Stéphane Babi Aubert
Music: Frédéric Deslias
Construction: Salem Ben Belkacem
Stage management: Thomas Turpin
Assistant: Nina Chataigner
*Scheduled in the context of the Hybrides Festival
Warm est une performance acrobatique réalisée pour Edward Aleman et Wilmer Marquez qui développent depuis quinze ans un duo fait de portés, de main à main et d’équilibres. Warm est un dispositif qui les invite à mettre leur discipline acrobatique à l’épreuve de la chaleur et de la lumière. Sur les 40 minutes que dure la performance, les projecteurs, serrés sur des structures face à face, vont s’allumer, produisant une lumière insoutenable et une chaleur étouffante. Un mur de miroirs vibrants prolonge cette structure lumineuse. Deux corps d’hommes en contact, dans la chaleur, entre force et relâchements, écoute, étirements, équilibres, semi-nudité, transpiration, suspensions. Un parcours physique allant du simple échauffement à la surchauffe et jusqu’à l’épuisement. L’ennemi des acrobates peau à peau : la transpiration. Plus la chaleur augmente et plus ils se mettent à transpirer, la sueur perle et goutte par les pores de la peau rendant tout porté impossible. Au bout de 10 minutes, l’espace performatif atteint les 45°C. Les vêtements sont trempés, les corps fragilisés glissent, tombent, s’écroulent, se rattrapent, tentent de tenir malgré la chaleur écrasante. Ils sont accompagnés par la comédienne Séverine Ragaigne, micro à la bouche, disant un monologue, un poème sonore signé Ronan Chéneau. Une déclaration d’amour, un rêve de jeune femme, un fantasme sexuel. La chaleur l’accompagne elle aussi. C’est elle qui invoque la présence des deux acrobates, elle qui les pousse à tenir, elle qui cherche à assouvir jusqu’au bout son désir de corps, de peau, de sueur et de douleur. Philippe Chamaux, direction de production, administration • les-independances@orange.fr Installation et direction : David Bobee *Programmé dans le cadre du Festival Hybrides |
23:00 | 21 |
WarmThéâtre des 13 vents
WarmThéâtre des 13 vents
Warm is an acrobatic performance done by Edward Aleman and Wilmer Marquez. For fifteen years, they have been developping a duo made of portés, hands to hands and balances. Warm represents for them the occasion to put their acrobatic discipline to the test of heat and light. During the 40 minuts of performance, the spotlights, installed closely face to face, will be switched on, producing an unbearable light and an oppressive heat. This luminous structure is extended by a wall made of mirrors.
Two men bodies in contact, in the heat, between strength and slackening, stretching, balance, seminudity, perspiration, hangings. A physical path from warmimg-up to exhaustion. Skin to skin acrobats' enemy: perspiration. The more the heat raises, the more they sweat. Their bodies are beaded with sweat, which makes a porté impossible to do. After 10 minuts, the temperature reaches 45ºC. The clothes are soaked. The weaken bodies slip, fall down, try to hold despite the heavy heat. The actress Séverine Ragaigne is with them. She performs a monologue, a sonorous poem signed by Ronan Chéneau.
A declaration of love, a young woman's dream, a sexual fantasy. The heat becomes a main character. It appeals to the presence of the two acrobats, it pushes to situation to the limit to satisfy its desire of body, skin, sweat and pain.
Philippe Chamaux, producer, administrator • les-independances@orange.fr
Production: Rictus Company
Co-production: Les Subsistances, Lyon • L’Hippodrome, Scène Nationale de Douai
Acknowledgements: La Brèche, Pôle national des arts du cirque de Basse-Normandie
Support: Conseil régional de Basse-Normandie • Conseil général du Calvados (ODACC) • City of Caen
The Rictus Company receives funds from the Ministry of Culture and Communication.
David Bobee is an asociated artist at the Théâtre National de Chaillot and at the Hippodrome, Scène nationale de Douai. He is an artistic associate at the Gogol Theater in Moscow.
Installation and direction: David Bobee
Text: Ronan Chéneau
With: Edward Aleman, Wilmer Marquez (acrobats) and Séverine Ragaigne (actress)
Lights and installation: Stéphane Babi Aubert
Music: Frédéric Deslias
Construction: Salem Ben Belkacem
Stage management: Thomas Turpin
Assistant: Nina Chataigner
*Scheduled in the context of the Hybrides Festival
Warm est une performance acrobatique réalisée pour Edward Aleman et Wilmer Marquez qui développent depuis quinze ans un duo fait de portés, de main à main et d’équilibres. Warm est un dispositif qui les invite à mettre leur discipline acrobatique à l’épreuve de la chaleur et de la lumière. Sur les 40 minutes que dure la performance, les projecteurs, serrés sur des structures face à face, vont s’allumer, produisant une lumière insoutenable et une chaleur étouffante. Un mur de miroirs vibrants prolonge cette structure lumineuse. Deux corps d’hommes en contact, dans la chaleur, entre force et relâchements, écoute, étirements, équilibres, semi-nudité, transpiration, suspensions. Un parcours physique allant du simple échauffement à la surchauffe et jusqu’à l’épuisement. L’ennemi des acrobates peau à peau : la transpiration. Plus la chaleur augmente et plus ils se mettent à transpirer, la sueur perle et goutte par les pores de la peau rendant tout porté impossible. Au bout de 10 minutes, l’espace performatif atteint les 45°C. Les vêtements sont trempés, les corps fragilisés glissent, tombent, s’écroulent, se rattrapent, tentent de tenir malgré la chaleur écrasante. Ils sont accompagnés par la comédienne Séverine Ragaigne, micro à la bouche, disant un monologue, un poème sonore signé Ronan Chéneau. Une déclaration d’amour, un rêve de jeune femme, un fantasme sexuel. La chaleur l’accompagne elle aussi. C’est elle qui invoque la présence des deux acrobates, elle qui les pousse à tenir, elle qui cherche à assouvir jusqu’au bout son désir de corps, de peau, de sueur et de douleur. Philippe Chamaux, direction de production, administration • les-independances@orange.fr Installation et direction : David Bobee *Programmé dans le cadre du Festival Hybrides |
01:30 | 21 |
Closing NightThéâtre des 13 vents
Soirée de clôtureThéâtre des 13 vents
You can't miss this evening: the festive endpoint of the activities within this IETM meeting at the Théâtre des 13 vents. What's on the programme? The french touch with DJ GAIA PROPHET, DOCTOR & OLIVIER NINOCASTER, an outside garden and a lot of good mood. GAÏA PROPHET RAPH DUMAS DR OLIVER & NINOCASTER Dress code : TRANS
La soirée à ne pas manquer, le point final festif de ces rencontres IETM au Théâtre des 13 vents. Au programme: de la french touch avec les GAIA PROPHET DJ, DOCTEUR OLIVIER & NINOCASTER, un espace jardin extérieur et beaucoup de bonne humeur. DR OLIVER & NINOCASTER GAÏA PROPHET DR OLIVER & NINOCASTER GAÏA PROPHET Dress code : TRANS |
01:30 | 21 |
Closing NightThéâtre des 13 vents
Soirée de clôtureThéâtre des 13 vents
You can't miss this evening: the festive endpoint of the activities within this IETM meeting at the Théâtre des 13 vents. What's on the programme? The french touch with DJ GAIA PROPHET, DOCTOR & OLIVIER NINOCASTER, an outside garden and a lot of good mood. GAÏA PROPHET RAPH DUMAS DR OLIVER & NINOCASTER Dress code : TRANS
La soirée à ne pas manquer, le point final festif de ces rencontres IETM au Théâtre des 13 vents. Au programme: de la french touch avec les GAIA PROPHET DJ, DOCTEUR OLIVIER & NINOCASTER, un espace jardin extérieur et beaucoup de bonne humeur. DR OLIVER & NINOCASTER GAÏA PROPHET DR OLIVER & NINOCASTER GAÏA PROPHET Dress code : TRANS |
19:00 | 21 |
Post-meeting eventParc Malbosc
Evénement post-réunionParc Malbosc
To all participants of the IETM Plenary Meeting: This browser does not support the iframe element. The ZAT - Temporary Artistic Zone - is a major artistic and cultural event that has been held twice a year, between 2010 and 2012, in public spaces of Montpellier. The aims of these events are: to explore a different neighbourhood, to stimulate the urban imagination, to invite to see and live the city from a different point of view. The artistic program is multidisciplinary - performing arts, visual arts, street art, performances, - adapted to the urban context and participatory. The ZAT is aimed at the whole population. Since 2010, more than 200 performances have been done by French and international artists. Hundreds of residents have been involved in the artistic projects. A ZAT in the nature by night The full program can be found in IETM’s meeting point. The ZAT is organised by the city of Montpellier. Director of Culture and Heritage: Valérie Astesano. Post-meeting “rendez-vous” In the presence of: Lieux publics, Centre national de création, In Situ, Réseau européen pour la création en espace public, HorsLesMurs, Centre national de ressources pour les arts de la rue et les arts du cirque, Circostrada, Plateforme européenne pour l’information, l’observation et les échanges professionnels, arts de la rue et arts du cirque, la Fédération nationale des arts de la rue, la FAI-AR, Formation avancée et itinérante des arts de la rue, le Master PCEP Projets culturels dans l’espace public (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). “Networking urban art, site-specific art” for IETM members Vous allez participer à la réunion plénière de l’IETM : La ZAT - Zone Artistique Temporaire - vous donne rendez-vous samedi 19 avril de 20h à l’aube This browser does not support the iframe element. La ZAT – Zone Artistique Temporaire – est une manifestation artistique et culturelle de grande ampleur organisée deux fois par an, entre 2010 et 2020, dans l’espace public à Montpellier. L’objectif de ZAT : explorer à chaque édition un quartier de la ville, stimuler l’imaginaire urbain, inviter à voir et vivre la ville autrement. La programmation artistique est pluridisciplinaire (arts vivants, arts visuels, street art, performances), contextuelle et souvent participative. La ZAT cherche à s’adresser à la population dans sa diversité. Depuis 2010, plus de 200 spectacles et surprises, d’artistes français et internationaux, ont été présentés. Des centaines d’habitants sont impliqués dans les projets artistiques. Une ZAT nature et nocturne Programme complet disponible à l’accueil de l’IETM La ZAT est organisée par la Ville de Montpellier. Rencontre post-meeting
Organisée par la direction de la culture et du patrimoine ville de Montpellier – ZAT à la maison des relations internationales
En présence notamment de représentants de Lieux publics, Centre national de création, In Situ, Réseau européen pour la création en espace public, HorsLesMurs, Centre national de ressources pour les arts de la rue et les arts du cirque, Circostrada, Plateforme européenne pour l’information, l’observation et les échanges professionnels, arts de la rue et arts du cirque, la Fédération nationale des arts de la rue, la FAI-AR, Formation avancée et itinérante des arts de la rue, le Master PCEP Projets culturels dans l’espace public (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne).
« Networking urban art, site-specific art » destinée aux professionnels participant à l’IETM
16h30 : networking, opportunités de coopération, tables de rencontres...
18h30 : présentation du projet global de la ZAT et du programme de la 8e édition
19h00 : départ collectif accompagné pour la ZAT #8 à Malbosc
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19:00 | 21 |
Post-meeting eventParc Malbosc
Evénement post-réunionParc Malbosc
To all participants of the IETM Plenary Meeting: This browser does not support the iframe element. The ZAT - Temporary Artistic Zone - is a major artistic and cultural event that has been held twice a year, between 2010 and 2012, in public spaces of Montpellier. The aims of these events are: to explore a different neighbourhood, to stimulate the urban imagination, to invite to see and live the city from a different point of view. The artistic program is multidisciplinary - performing arts, visual arts, street art, performances, - adapted to the urban context and participatory. The ZAT is aimed at the whole population. Since 2010, more than 200 performances have been done by French and international artists. Hundreds of residents have been involved in the artistic projects. A ZAT in the nature by night The full program can be found in IETM’s meeting point. The ZAT is organised by the city of Montpellier. Director of Culture and Heritage: Valérie Astesano. Post-meeting “rendez-vous” In the presence of: Lieux publics, Centre national de création, In Situ, Réseau européen pour la création en espace public, HorsLesMurs, Centre national de ressources pour les arts de la rue et les arts du cirque, Circostrada, Plateforme européenne pour l’information, l’observation et les échanges professionnels, arts de la rue et arts du cirque, la Fédération nationale des arts de la rue, la FAI-AR, Formation avancée et itinérante des arts de la rue, le Master PCEP Projets culturels dans l’espace public (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). “Networking urban art, site-specific art” for IETM members Vous allez participer à la réunion plénière de l’IETM : La ZAT - Zone Artistique Temporaire - vous donne rendez-vous samedi 19 avril de 20h à l’aube This browser does not support the iframe element. La ZAT – Zone Artistique Temporaire – est une manifestation artistique et culturelle de grande ampleur organisée deux fois par an, entre 2010 et 2020, dans l’espace public à Montpellier. L’objectif de ZAT : explorer à chaque édition un quartier de la ville, stimuler l’imaginaire urbain, inviter à voir et vivre la ville autrement. La programmation artistique est pluridisciplinaire (arts vivants, arts visuels, street art, performances), contextuelle et souvent participative. La ZAT cherche à s’adresser à la population dans sa diversité. Depuis 2010, plus de 200 spectacles et surprises, d’artistes français et internationaux, ont été présentés. Des centaines d’habitants sont impliqués dans les projets artistiques. Une ZAT nature et nocturne Programme complet disponible à l’accueil de l’IETM La ZAT est organisée par la Ville de Montpellier. Rencontre post-meeting
Organisée par la direction de la culture et du patrimoine ville de Montpellier – ZAT à la maison des relations internationales
En présence notamment de représentants de Lieux publics, Centre national de création, In Situ, Réseau européen pour la création en espace public, HorsLesMurs, Centre national de ressources pour les arts de la rue et les arts du cirque, Circostrada, Plateforme européenne pour l’information, l’observation et les échanges professionnels, arts de la rue et arts du cirque, la Fédération nationale des arts de la rue, la FAI-AR, Formation avancée et itinérante des arts de la rue, le Master PCEP Projets culturels dans l’espace public (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne).
« Networking urban art, site-specific art » destinée aux professionnels participant à l’IETM
16h30 : networking, opportunités de coopération, tables de rencontres...
18h30 : présentation du projet global de la ZAT et du programme de la 8e édition
19h00 : départ collectif accompagné pour la ZAT #8 à Malbosc
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